sábado, 14 de abril de 2012

Pierre Montagne Pedro Serrano Anthropiste




CURRICULUM VITAE – BIOGRAPHIE AVECUN DÉVELOPPEMENT DE SOUVENIRS EN FRANÇAIS A LA DATE DE FIN JUIN – JUILLET puisdécembre 2011 de l’ère chrétienne – Ere ou Eglise chrétienne incapable de gérerle monde. L’ère chrétienne est révolue, finie. A remplacer par l’ Erescientifique ou l’ Ere Anthropique, par réaction contre l’ignorance absolue duChrist. Actualisé 2012.

Lesommaire de cette biographie se place au paragraphe E 160, en lespages 134 à 146, juste après la liste de tous mes professeurs depuis l’âge dehuit ans. ( ≈120 noms )

DATOS PERSONALES


Nombre y apellidos : PEDRO ( Pierre ) Manuel SERRANO ( Sierra = montagne ) Sorni – Photod’identité en page 77.

Fechade nacimiento : 3/ 11 / 1959 en Valencia - Emigrado a Francia en el 1961 y regreso alos 42 años de edad en el 2001. Voir photo en page 4 :« À l’âge de trois ans, avec maman en France ». Carte de séjour et deCarte travail puis Carte C E E Communauté Economique Européenne. Ces documents D N I et carte C E E figurentici aux pages 2 et 3.

D NI : 292 13 818 T – Pasaporte del Consulado General de Españaen Paris

Dirección: Calle DoctorManuel Candela nº 2 – Piso 8 – Puerta nº 30
EdificioBalcón del Levante – Esquina de la Avenida del Puerto

Población : 46022 Valencia– España

Teléfono : Móvil 622– 595 – 770 – Todo el día

Pages Web: 8 dont suivent les adresses U R L du net :

1 www.elmundio.blogspot.com( la traduction au Français est en préparation )


3 www.pierreserranoataquemasagresivo.blogspot.com( en espagnol seulement en date du mai 2012 )

4 www.pierremontagnepedroserrano.blogspot.com ( ce document ci est donc aussi sur le net ) ce texte est amélioré puis coupéen deux et passe sur le net en les deux adresses suivantes :



7 www.pasemosdeleuroalmundio.blogspot.com

8 www.passonsdeleuroaumondio.blogspot.com



Carnésde moto A1 hasta 125 cm3 y de coche vehículos de turismo categoría Bde validez permanentes expedidos en República Francesa.

FORMACIÓN ACADÉMICA


-Bachiller en Ecole des Francs Bourgeois, 21 Rue Saint Antoine Métro Bastille - colegio privado, OpciónMatemáticas y Ciencias Físicas, Paris.1978. Aprobado con notable

La rue Saint Antoine donnait sur une ruellesecondaire : la rue du petit musc où nous prenions le café un camarade etmoi : Patrick Germain Thomas, au bar « Le temps des cerises » enbas de l’école, en sa sortie arrière, aux pauses du matin.

J’obtenais mon baccalauréat en ayant échoué unepremière année de Terminale C pour un malheureux point qui me manquait au totalgénéral. Ayant redoublé, j’obtenais une mention « Bien » avec unemoyenne de plus de 12 / 20. Le directeur de l’école, le frère Francis Frézelavait admis que je pouvais redoubler en son établissement, ce qui n’était pasautorisé en règle générale. Je m’arrangeais avec Frézel à le dédommager desfrais de cantine, mais il m’exempta des trimestres scolaires à payer.

-Preparación a las grandes escuelas científicas – Mathématiques Supérieures en Lycée Raspail, Paris .1979. Primer año de ingeniería. Il y avait aussi des Maths SupBio et des Maths Sup Techno. L’élève de Sup est désigné comme taupin ou 1 / 2dans le jargon des étudiants.

Parallèlement à Math Sup ( admis donc pour laseconde année ) je m’étais inscrit à l’Université Pierre et Marie Curie, en DEUG SSM( Sciences et Structures de la Matière ) 1.








Vive la République

Liberté – Égalité – Fraternité




Viva la Republica – España Republicana


REPUBLICA YA
PERO YA

El pueblo unido jamás serávencido
135 Repúblicas en elMundo Ahora también España totalmente Republicana.Totalmente. Ya pero Ya
« Je me suis souvenu à l’instant de deux outrois des patronymes ou noms de famille des copains de Math Sup :Recoulès, Poueymarie, et Eric Choffel. Comme quoi le Jeûne améliore la mémoire.La preuve. Il y avait aussi Marco, puis Pascal Lenoir, José Edo, Pelletier, Gentil,Jacquin, Leroux, Lapierre, Jacques D’harcourt et sa moto retapée, de collectionavec laquelle nous allions rouler dans les bois de Boulogne… Louis Doiron,celui de la programmation obsessive, p’tit Louis. Sherlock ou Frédéric Almès,le fils du directeur douanier, puis Dangles François son copain de la rue deChanzy près de la place de la Nation qui roulait en voiture F I A T 131 etavait un sens très développé de la répartie.

Aussi Philippe Touron le boutonneux, puis moncompagnon adjoint délégué : XY ? XZ ( Ah oui = Vincent Lestienne )qui habitait Cachan en proche banlieue et avec qui je partageais les devoirsmaison de physique chimie. Cyril Landon avait sa moto 500 cm3. ».

J’usais d’une calculatrice semi – programmable, laT I 53 ( Texas Instruments ) . La batterie était rechargeable, le boitier noir etle clavier incliné. Les chiffres apparaissaient en LED rouges.

Tabourdeau et ses moqueries ( « C’estfantastique ! » ) , puis Milliès Lacroix qui sortit aussi parl’entrée des fournisseurs le jour du bizutage en début d’année. A l’époque,notre produit dopant était la vitamine C. Acide ascorbique en grands comprimésblancs ( de 1 gramme je crois ). C’était pas trop loin des produits végétauxcrus qui en contiennent tous. En cuisine, la vitamine C est thermodestructible, et donc ne se trouve que dans le cru frais. Notre luttequotidienne en physique et en chimie était l’eau en nombre d’aspects. Le pH, oupotentiel hydrogène, le pK, le produit de solubilité, le produit ionique, lepoint triple … Les professeurs : Pietrick en physique – chimie puisMartine Rayer ( Titine, disaient les copains ) en mathématiques, de Meudon laForêt, qui venait en Citröen Deux Chevaux. Rayer avait une très abondante garderobe. Elle changeait de vêtements chaque jour. Elle était notre professeurtitulaire. Mademoiselle Lagoutte nous enseignait l’anglais et Mr Wogenstall ledessin industriel. La prof de français XY ? YZ ne m’est pas restée enmémoire. Quelle année : 1978 – 79 ou alors 1977 – 78 ?. Voir lecalcul de dates qui suit : ( en remontant à partir de 1982 – Paragraphes ABCD suivants )

A - De nov 1981 à nov 82 = stage A F P A – D Et M G nº 392

B - 1981 = Calberson International - 1980 = DanzasDenrées. Denrées périssables.

C - Automne et Hiver 1979 = Liaisons Courses, leCrédit National, Chaffoteaux et Maury àMontrouge, et Dumas Lacassagne Transfel en dégroupeur. Mon aventure à Gibraltar(( la moto verte Clarabelle avec Jean Claude et Claudine Séguinau cultivateursde cornichons de Vendée )) puis MaríaJosé Palmero del Pozo vint sur Paris, arrivant vers décembre. Voir le point E XYZ page TW ?.

D - C’était donc, cette classe de ClassePréparatoire aux Grandes Ecoles Scientifiques en 78 – 79. Il y avait deuxjeunes femmes avec nous, sur 40 élèves. L’une d’elles était me semble – t – il ChristineKieffer, blonde et l’autre peut – être Isabelle.

Cyril Landon emmenait Pupuce camarade de Terminaleau même lycée sur sa moto, et Edo Jose ( un espagnol orphelin de père ) sortaitavec Carmen Peral ( ou alors c’était François Dangles avec sa voiture ).Brigitte Binisti, amie juive pratiquante, puis Monique Polychroniadis etCatherine Letavernier ( aussi Isabelle Cotte ) ainsi que Christine Lelarge orphelinede père devenue professeur de gymnastique, et Corinne Lefort Lauvergne fille desa mère dentiste et sans père fréquentaient à nos tables le RestaurantUniversitaire de la Rue Dareau près du métro Saint Jacques. Je donnais descours à Sylvie Boisseau, à Sylvie Ribette et à Maryline Ribette. Des cours demaths gratuits aussi à Jean François Goubely connu en Al - Anon. Nous allâmescamper à moto et en voiture à Château Gaillard, sur un des méandres de laSeine, aux Andelys, le château de Richard Cœur de Lion, clé de voute de laNormandie.

En excursion civilisée, nous allâmes au Palais desCongrès de la Porte Maillot au Festival international de la Musique et du Son ydécouvrir la nouveauté de l’année = le disque digital CD – Rom en binaire venaitde sortir. Une révolution.

Il en est un, de parmi les camarades, que j’avaisoublié : Eric Sarfati était juif, portant son éternelle écharpe. Ilblaguait avec un grand sourire, imitant les profs de colles :« Monsieur Serrano, parlez nous du point triple de l’eau ». Moi, jefinissais ma cigarette en grinçant des dents. Le point triple de l’eau est sonétat thermodynamique de conditions de température et de pression dans lequelcorrespondent simultanément les trois phases : liquide, solide, vapeur.

La prof de français XY ? YZ qui ne m’est pasrestée en mémoire devait s’appeler Madame Dutrey, peut – être. Effectivement,je viens de vérifier dans le fichier « Professeurs ». Les profs decolle y sont aussi. Dutrey nous faisait étudier « Le roman inachevé »d’ Aragon.

Je me souviens de Math Sup. J’étais le radieuxcentre de vie de la classe et de tout un groupe d’amis. Loutfi Ouenna tunisien habitantRue de Rennes et Dominique Soinnard suivaient sur leurs motos : Beta 125de cross et Yamaha 125 cc D T M X deux temps. Ils avaient loué un appartement àChartres, payé avec les travaux d’imprimerie de « L’imprimerieBleue » près de Décorève.
En classe, j’étais délégué de classe, élu par unvote démocratique en début d’année, chargé de noter les absences chaque matin,d’en faire référence au directeur ou au recteur. J’étais aussi chargéd’assister avec le sous – délégué aux conseils de classe chaque trimestre. Lesdestins se jouaient là. En début d’année, j’avais été désigné pourconfectionner le « colloscope », document circulaire en cartonrotatif qui établissait le roulement par groupes des examens oraux ou« colles » qui vérifiaient nos acquisitions de progrès desconnaissances. En tout début d’année, lorsque je placardais le colloscope aufond de la classe, des petits malins vinrent le mettre à l’envers, ce qui donnalieu à de la colère et à des attitudes agressives de ma part. Chaque colleexaminait trois ou quatre élèves au tableau, en examen oral, et se soldait parune note entre zéro et vingt qui entrait dans la moyenne du trimestre. J’étaisresponsable aussi de collecter les photos d’identité de chacun de mes camaradesde façon à établir les cartes de C R O U S qui nous donnaient alors accès aux restaurants universitaires.

Ces cartes C R O U S ( Comité Régional des ŒuvresUniversitaires et Sociales ) n’ontjamais été établies, mais il me reste dix photos d’identité de quelques uns demes camarades. Photos un peu plus loin en ce fichier page 58 ou 59. Un desRestau U était celui de Saint Michel. ( Près de l’observatoire astronomique ).

Enfin, je fus désigné pour représenter ma promotionauprès de l’Ecole de l’air de Toulouse. Chaque Sup de France désignait un desélèves par classe qui devait se rendre à Toulouse, visiter l’Ecole de l’Arméede l’Air, passer la journée, puis revenu sur Paris, faire un compte rendu à sescamarades. La Sup Techno de Raspail envoya, avec moi un second délégué. Nouspartîmes à l’aube en avion militaire Transall, passions la journée à Toulouseet ne rentrons sur Paris que le soir venu. Nous avions déjeuné sur place commeinvités d’honneur. Les ordinateursétaient ceux des simulateurs de vols. Le compte rendu sur ces militaires del’aviation n’intéressa personne strictement. Au moment de faire mon compte –rendu, tous mes camarades s’enfuirent comme si j’allais leur parler de lapeste. Le deuxième conflit de l’année surgit quand un des membres du corpsdiplomatique traina ma moto sur plusieurs mètres afin de garer sa voiture àplaque verte du CD à ma place juste devant l’école.

A la fin de l’année, je me rendais chez CarmenPeral, Rue Mademoiselle, je crois dans le 14ème. Elle révisait sonbacho et j’étais censé l’aider en espagnol. J’arrivais avec deux disques vinyleà lui prêter, disques que je ne revis jamais : Luis Llach, le chanteurcatalan qui chante en catalan. En échange elle me prêta deux disques qu’elle nedevait jamais revoir non plus : « Miguel Hernandez canta FranciscoCurto ». ( ou alors inversement Curto canta … ) Ce disque de la collection« Le chant du monde » narre la guerre civile espagnole. Carmen étaitdu village de Callosa de Segura, dans la province d’Alicante. Du même village était Francisco MelladoManresa, de l’ école Patay, qui habitait Rue Albert dans le 13ème avecsa sœur Conchita et qui finit par rentrer au pays. Son père travaillait chezCitroën. Paco Mellado avait subi la poliomyélite et boitait. Il s’était achetébien plus tard une moto de cross pour se fracturer la jambe. Paco ouvrit uncommerce à Callosa : « Lamparas Conchita ».


Je me souviensd’un anniversaire chez Mellado rue Albert : sa mère avait préparé unetarte et j’avais placé une mouche en plastique sur le gâteau.

En Sup, en tant que bon délégué, je développais unbon divertissement financier : le jeu des correspondants investisseurs. Chaquecorrespondant devait donner une somme modique à celui qui l’introduisait dansle système, mais à son tour il devait trouver trois autres correspondants, etainsi de suite. Certains des camarades se firent complices dans ce jeu enarborisation utilisant seulement les services postaux. Un jeu improductif maisamusant.

Le tout premier jour de classe, j’eus un accidentavec la moto à l’aller. Rue Dunois, en sens unique, je refusais une priorité àdroite, Rue Leredde je crois, non car c’était au Square Dunois, juste avant lemétro et en conséquence j’eux droit à un choc. Nous fîmes un constat. J’arrivaisdonc en retard.

Par la suite, en cours d’année, j’avais aussi desretards et des absences, ce qui me fut fatal au conseil de classe terminal du 3èmetrimestre. J’étais pourtant sûr de passer en Spéciale. Je me voyais 3 demis ou5 demis, taupin et puis taupe suivant notre jargon, puis enfin ingénieur.J’étais sur de moi. Seulement j’avais passé plusieurs nuits à étudier jusqu’àl’aube, tellement tard dans la nuit qu’au matin, je dormais incapable de melever à l’heure.

Sortant du conseil de classe qui me condamnait à ne pasaller en Spé, je m’effondrais et je pleurais assis sur le porte - bagages d’unemobylette devant le Lycée. Le contenu du programme de Spé ne fait que répéteret rabâcher celui de Sup. Philippe Touron essaya de me consoler et de meconseiller un B T S.

Le fils de Jean Chavois, collègue P3 de mon père à la S AT ou Société Anonyme des Télécommunications de la rue Cantagrel fréquentait ceLycée Raspail. Je croisais parfois Hervé dans les couloirs. Il suivait descours d’atelier techniques. Le bâtiment se surnommait « La piscine »du fait de sa configuration intérieure avec les balustrades successives peintesde couleurs vives. Je retournais quelques années plus tard pour voir avectristesse le bâtiment démoli.

Un jour, Martine Rayer professeur principale me confiason trousseau de clés : « Serrano, allez éteindre les phares de mavoiture que j’ais oublié de couper ». Je me rendais sur le parking contiguau bâtiment. A cette époque je militais déjà chez A A. ( Alcooliques Anonymes –Al Anon – Al Ateen ) à l’ église de la Madeleine dans les beaux quartiers.

J’encourageais les camarades, aux pauses, à nous rendrefaire des parties de flipper au bar d’en face, le Ruthène. Le caféaccompagnait, quand ce n’étaient pas les bières. Parfois nous terminions nosdevoirs à la cafeteria du Restau U, à Dareau. Un ancien de Spécial, Jacques etsa B M W moto 900 cc nous tenait compagnie à rue Dareau, connu comme ami deChristine Lelarge.

Je m’étais présenté ma candidature à Raspail surrecommandation de Loutfi Ouenna qui avait fait Sup là bas un an auparavant. Lapremière année, je ne pus entrer, ayant échoué à mon baccalauréat. Loutfim’était connu comme ami de Eric Letavernier de la Tour Athènes, le frère deCatherine. Leur père, représentant de chez Tropicana les jus de fruit, décédapeu après. Eric était un fanatique de sa Honda CB 125 cm3 qui lemena jusqu’à Amsterdam avec sa sœur. Par la suite, je me rendis aussi à lacapitale hollandaise, y tomber malade suite à un coup de froid au sortir de ladouche. Wondel Park est resté en mémoire comme un des lieux à visiter. Lesgrands vélos noirs … le pain noir …

J’ais gardé mes cahiers de l’époque : mon écritureest toute déformée, manque de maturité. Plus tard, le style d’écriture de PaulHenri Barthet déteignit sur moi.

En 2011, j’ais encore les livres de cours Doneddu de chezVuibert, une collection de six tomes de théorie. Les livres d’exercices, dumême format Fleury m’échappèrent pendant le déménagement d’ avril 2011.

Vers la fin de l’année, je me rendis chez Pascal Lenoir ycopier des notes de cours car j’avais du manquer quelques jours. Les écrituresde Pascal étaient parfaites quand au graphisme. Il utilisait une règle pour lesbarres de fractions, et toujours un stylo Bic à 1 franc. Pascal était premierde la classe et allait entrer au Lycée Louis le Grand en Spéciale P prime. Endernier lieu, en une expédition de groupe, les camarades amis me firent unevisite à mon domicile.


FORMACIÓN COMPLEMENTARIA

16 cursillos profesionales ( el último en los folios 123y siguientes en E155 )

M - Cursode Empleado de Oficina – C S I F – Centro de SindicatosIndependientes y de Funcionarios – Noviembre 2010 a abril 2011. Métro : SanIsidre. Programas : Word – Excel – Access – Conta Plus –Factura Plus Nómina Plus – Professeurs : David Navarro etson sourire permanent – Dolores Rocafull – Tutora : Lola. Une des camarades, unejolie patricienne Patricia Pérez Jimeno me donnait une ou deux cigarettes tousles jours car je ramassais les mégots dans la rue. ( Voir dans le Journal 28pages 152 et 153 quelques paragraphes relatifs à Patricia que je revois enjuillet 2011 en bas de chez moi ). Ma voisine de bureau, Mercedes, de sa voixforte écrasait tout le monde. Une horreur avec ses cinq chiens comme fondd’écritoire. Un cauchemar. La professeur Lola Ribelles Rocafull tomba enceintedurant le stage. Elle nous parlait davantage de sa médecine et de son spécialisteet de sa santé que de comptabilité. Une des camarades, Françoise étaitoriginaire de Cavaillon sur le Rhône. Nous parlions en français de temps àautre. Au fond dormait Nachete sur son Tuenty. Firmin se tenait à côté de laporte. Javier qui avait un défaut visuel nous quitta pour couvrir un poste. Maríaune jeune femme était handicapée pour avoir été opérée des os de la main oùelle portait de larges cicatrices. Cristina, femme en instance de divorce,m’ennuyait un peu.

Je prenais mon café à « La Taberna deltinto » qui allumait son gaz à réverbère le matin, mais fermait leslundis. Ou alors j’allais en face à « Comidas caseras ». J’y mangeaismon horrible sandwich au pain de mie et à la mortadelle pas chère. Parfois lematin je tirais un café au distributeur et je le prenais en salle de cours.

A la pause j’allais toujours à la fontaine dujardin voisin. Une voie ferrée bordait notre rue, en hauteur. Je brillaisparticulièrement en Excel à établir la syntaxe des formules « siconditionnel » ainsi qu’à les appliquer. Plus avant, une des plantes dujardin d’entrée attira mon attention : je recueillais les germes en avrilla fois où j’allais signer mes « nominas ». Cette plante a laparticularité de présenter ses germes sur le tranchant des feuilles. Je doisappeler Lola en juin 2011 pour aller y chercher mon diplôme. Au 3 juillet,j’ais oublié d’appeler.

« Ce matin est arrivé le 10ème desstagiaires, Javier, car jusqu’à présent nous n’étions que neuf. La liste descompagnons de stage serait la suivante, par ordre de proximité dutableau :

1 – Moi qui me précipitais le premier jour car de loin etsans lunettes je serais incapable de lire le tableau. Il fallait donc que jem’assoie impérativement au plus près.

2 – A mon bureau, se tient à ma gauche Mercedes, la plusancienne de nous tous avec ses 58 ans. Elle est bruyante, turbulente, etinstalla dès le deuxième jour cinq hideux chiens sur le fond d’écritoire.

3 – A droite, juste en face du professeur s’assoitCristina, une blonde un peu vulgaire et gesticulant facilement. De façonamicale elle m’offre un briquet au 3ème jour de classe. ( Briquetvide le surlendemain )

4 – Derrière moi se tient Francisca Sofía, de belleprestance physique, qui vient en voiture ( en voiture comme Mercedes ma voisinede bureau ). Francisca originaire de Cavaillon dans le Rhône parlait français.Durant le stage, elle se trouve un poste de caissière à mi – temps chezMercadona ou Consum. Elle préparait unexamen de français. Me donnait aussi quelque cigarette en ma misère quiconsistait à ramasser des mégots et à les fumer.

5 – A sa droite travaille Olga, blonde en jeans qui faitdu bruit avec ses chaussures claquantes. Je revis Olga à la cafétéria en bas dechez Femxa car elle suivait ses « practicas” le matin. Elle m’offrit uncafé une après midi après le boulot Calle Isabel la Católica face au CorteIngles.

6 – Derrière Francisca Sofía s’est assise PatriciaAlejandra qui, quoique un peu rondelette, a une bonne prestance. Nous avonséchangé nos numéros de téléphone. Quatre mois après, je ne l’ais toujours pasappelée. Contactée en juillet 2011. Août 2011 = le désastre de sa séparation. Voiren page 122 le point E 156 qui décrit ma cohabitation d’un mois avec elle enmars 2012.

7 – A côté de Patricia travaille María, handicapée motricequi a plusieurs cicatrices à la main droite. Nous prenions le métro ensemblesjusqu’à Meliana me semble – t – il après la correspondance.

8 – A leur droite vient de s’installer Javier arrivé cematin. Il prend le train en marche soit avec trois jours de retard, certescompensés par son expérience.

9 – Au fond à gauche se tient Fermin. Près de la porte. Firminparlait très fort.

10 – Au fond à droite vient de changer de place ce matinNacho ou Nachete qui a vu son ordinateur du début de semaine tomber enpanne. Nacho était handicapé des jambes. Il allait et venait avec sescopains. »

L - Cursode Habilidades Personales y Sociales. HHSS- Inserta – C R I S ACOVA Marzo del 2010. Nociones de psicología : empatía – autoestima – control de las emociones –toma de decisiones – trabajo en grupo – dinámicas Professeurs : Lidon Mars Aicart la psychologuepour la plus importante partie – Teresa Quirós Rodriguez aussi psychologue avecses yeux verts, qui fumait encore à cette époque – Mari Carmen Minuesa Muñozqui était enceinte. ( Elle accouche en2011 ). Compagnons : Pereira, Pascual, Raúl, et Victoria entre autres. Un autredes compagnons ( de prelaboral ), qui venait en pantalons de camouflage etmettait les pieds sur la chaise se fit casser la tête par un usager du C R I S,Cesar. Il avait ri de lui. Bien mérité, mais il lui fit un procès avec dommageset intérêts. La liste des camarades de classe suit, extraite du « Journal 15 » aux pages 5 et 6.

« Si l’ Anthropiste cherchait une Anthropistecomplément , les choses paraissent bien mal avancées.

Les compagnons de cours – stage – atelier sont 11 :

- Silvia Herrero
- Elisa
- Victoria
- Erica
- Raul
- Pereira Juan Ramón
- Pascual Pascual
- Paco le barbu
- Abel
- Vicente
- Enrique Montañana
1 – Vicente a été chauffeur de Taxi pendant 12 ans. Il nese rase la barbe que de temps à autre, mais montre une bonne humeur et unecommunication constantes. Il touche une bonne retraite. Il m’emmène sur le parkingy découvrir sa voiture, une Tata. Il parle abondamment de ses fraudes endépenses alimentaires.

2 – Enrique Montañana prend des temps de parole comme s’il se croyait seul , avec la classe faite exclusivement pour lui. Des âneries,presque sans discontinuer et un empressement qui gène tous les autres, y comprisles profs.

3 – Abel ne présente pas de particularités. Il vit seul.Sa télé était en panne.

4 – Paco parait faible de caractère, derrière son épaissebarbe. Il se la taille dernièrement et améliore sa tenue vestimentaire. Il sentla sueur.

5 – Pascual , de petite taille est père de famille. Ildoit suivre des contrôles d’ urines à laU C A ( Unité de Conduites Adictives ). Il s’ obstine à porter des vêtements detreillis militaire, mais ne cause que peu de problèmes. Mai 2012 : ils’obstine à porter un cuir noir.

6 – Pereira partage un appartement avec Pascual et Raul.Il a un aspect assez junkie, mais se comporte aimablement. Ses yeux se ferment.Il porte deux grandes cicatrices au cou, près des jugulaires.

7 – Raul a fini par cacher ses épaules nues et sontatouage tribal. Il parle lentement, mais son problème consiste à se passer duhachiche.

8 – Erica lit des romans en présence de tous, comme sipersonne ne l’ intéressait. Elle parlevite, précipitée. Un lundi, elle quitta le cours.

9 – Victoria âgée a un bon sens de l’ humour. Je laconnais de « Autoayuda » et du cours du mois de Juillet. Elle a faitsa vie, a des enfants.

10 – Elisa a fini par défaire sa queue de cheval aujourd’hui et a libéré ses cheveux. Le jour du « Soy el cartero » elledevint rouge comme une tomate.

11 – Sylvia lutte contre sa timidité. Elle vit, pour l’heure avec sa mère, mais se pose la question de se chercher un impossiblelogement demain. Parfois nous faisions le chemin ensembles jusqu’ au métro puisjusqu’ à Alameda.


K -Curso de Prelaboral. Inserta fsc – CRIS ACOVA – Búsquedasde empleo : entrevistas – Preparación del currículo – Búsquedas activas – Dinámicasde simulación de entrevistas. Febrero del 2010


Professeur : Cristina Diaz supervisée par RosaValle de chez Inserta ONCE. Les locaux étaient ceux de Fundar, CalleFuencaliente. Compagnons :Quique, qui sortait de prison, Carlos connu aux ateliers de cuisine, Jesus unpeu obèse, et Victoria du groupe « autoayuda » entre autres.

Durant ce stage de Recherches d’ Emploi, jecommençais par tomber sur le prospectus de « Do you know what happened toSophia ? », ( qui relate un abus de traite des blanches ) puis jeterminais en rédigeant le brouillon des lettres grecques et latines durant mes après– midis de repos à la résidence, sur la piste de tennis où des tables sedressaient. Certes, les dessins ou croquis ainsi que les textes se pourraientaméliorer. Par exemple adjoindre un texte sur Word et non à la main.

La liste des camarades de classe suit, extraite du « Journal 6 » pages 3 et 4.

« Les noms de mes camarades de stage « prélaboral »Recherche d’ emploi étaient : des paragraphes A à N qui suivent,

A - Rosa Valle , responsable de chezInserta – O N C E – Nous avons tous passé un entretien de sélection chez PasajeVentura Feliu, au siège avec des escaliers de marbre luxueux. 1erétage.

B - Cristina Diaz de chez ACOVA –Monitrice – Christine dirige les ateliers hebdomadaires de recherche d’ emploiau sein du C R I S. Elle nous oriente vers les « bolsas de empleo »,et vers les possibles stages.

C - Le stage me fut annoncé unmercredi par Lidon Mars, me jetant dans l’ embarras de la surprise et de la« spontanéité laborale » soit dit sans préparation ni annonce. Nousregardions le film de chez Disney : « Gousteau » le restaurantparisien , avec son apprenti, son rat complice et la jolie cuisinière avec quise conclut l’ histoire. Parfois, elle nous passait des « corto » soitdes films courts que nous commentions ensuite.

D - Enrique Montañana qui aurait pufaire la politesse de se raser chaque matin

E - Enrique Garcia Mata du groupe« Autoayuda ». Enrique a un triste passé en régime pénitencier. A cequ’ il dit, il aurait aidé un malade en sa prison, jusque ce que la personnedécède et qu’ il soit libéré pour bonne conduite. Il est assez grand gaillard,mais timide.

F - Carlos qui vient à ACOVA – connuen cuisine et en informatique – Un bon copain avec qui je m’entendais assezbien. Nous partagions beaucoup de moments ensembles. Un matin de début desemaine, nous achetions un paquet de cigarettes à 50% chacun.

G - Angel Javier qui était toutexcitant, et tout aussi fou. Angel m’ avait presque agressé le jour de lapromenade aux Viveros, me parlant de saigner le bétail, mais le pauvre garçongagnerait bien à manger quelque tranche de n’ importe quoi … peu importe. Ilvenait en une petite voiture, de celles qui se conduisent sans permis.

H - Rosa de chez ACOVA – connue eninformatique et en recherche d’ emplois Nousavons partagé plus d’ une entrevue simulée de candidature à des postes. Jecrois que Rosa a des études. En juin 2011, elle travaille à une O N G :« Por la no violencia y por la Paz » « Movimiento contra laintolerancia ». Elle me donne un auto – collant de son association.

I - Isabel Balaguer ou Belenguer .Isabelle racontait des blagues pour toute l’ assistance le 23 juillet de cette année 2010 ( Fête de fin d’ année ). Ils étaient trois avec un « Montañana » et puis Sarah.

J - Victoria du groupe« Autoayuda ». Victoria a quatre ou cinq enfants bien grandis. Ellesurprend parfois et récolte une vague de sourires.

K - Jose Vicente, inconnu jusque là.Jose Vi portait un T – shirt politique avec l’ inscription« Republica Dominicana » ou alors « Santo Domingo ».

L - Ruben García qui manqua les deuxderniers jours. Il avait commencé le stage par aller voir les putes la veilleou l’avant – veille, et donc n’a pas terminé. Ruben, habituellement dessine oujoue de la guitare.

M - Jaume n’ avait que peu de respectpour nous à mettre des pantalons de camouflage de militaire , et à mettre lespieds sur la chaise d’ en face, malgré les remontrances de Cristina. Un petitmalheur lui est arrivé, sans doute du fait de ses imprudences ou de sesattitudes. Il veut à présent dresser un procès à celui qui lui a mis les deuxyeux au beurre noir.

N - Jésus de chez ACOVA. Sa graissel’ empêche un peu de respirer, mais c’est un bon bougre. Un ancien, je crois du C R I S, qui participa au voyage organiséà Lloret de mar ce mois passé.

Lors de leurs voyage, ( Lloret de Mar – Castellón ) secréait la nouvelle mise en place de cet énorme fichier Internet A C O V A. L’impénétrableinutilisable fichier acquérait une logique d’accès possible et de structure rationnelle.

J -Curso de Ofimática. T F I L en Academia A F I O V A– Asociación para la Formación en Igualdad de Oportunidades. Valencia – Otoño 2009 – Word ExcelProfesseurs : Hélène Martinez l’obèse, de parmi trois soeurs – Pilar - Amparo Martinez que je revis deux ou troisfois par la suite – Puis la psychologue une autre Martinez – Programme dedactylographie Mecasoft au quotidien – Horaires d’après midi et en soirée .Nous prenions le café Rue de la Paix, à la cafétéria Illy. Hélène m’offrit unpetit MP3 qui me servit à me distraire beaucoup. Amparo nous projetait desfilms : « Terminator » puis « Les hackers ». Je gagnais,par tirage au sort, un casque – microphone que j’usais beaucoup par la suite.Mon passe temps préféré était d’aller demander des catalogues de voyage aux agencesde cette luxueuse Rue de la Paix. A l’époque, je ne fumais pas ( un and’abstinence ). Toutes les après midis, Inma croquait sa pomme du goûter surl’ordinateur. Voir le « Journal Automne nº 6 » pages 4 et 5 pouravoir les noms des camarades, qui suit :


“ Du stageantérieur : ( A F I O V A ) Calle la Paz nº 40 Academia Ocean

Asociacion para la Formacion en Igualdad de Oportunidades Valencia, paragraphes deA à M que voici :

A - Inma Roig Dalmau, amie camarade dela résidence, mangeait sa pomme chaquejour face à son PC. Le goûter ne se devait pourtant pas prendre ni en salle, nidurant les cours.

B - Jose Léon ou Josele le chanteurséropositif venait parfois en bicyclette. Je le vis chanter Plaza de la Virgen,aux terrasses. Il faisait la manche. Aux cours, il fut le champion de l’absentéisme.Il venait avec quelque certificat médical, justifiait, puis repartait. Certainsjours il amenait sa bière. Je le revois par la suite deux ou trois fois.

C - Juan Carlos, un petit jeune quiamenait des bonbons. Inma l’ aimait bien.

D - Pilar ma voisine un peu âgée quime parlait de son jardinage avec Sergio XY ? ( Pardo ) Torres et Dani Julian de la résidence . PilarIglesias. Pilar avait un handicap moteur à une des mains, ce qui fait qu’elledevait utiliser un clavier spécial et une souris adaptée.

E - Une contestataire un peu grosse.Ah oui : Barbara se fâchait avec la psychologue ou avec les professeurs,puis après pleurait. Inma la connaissait d’un stage antérieur. Barbaraconnaissait déjà le contenu du programme.

F - Francisco le tatoué à« nacido para sufrir » à un bras, et le chien berger allemand qu’ ilvoulait. Il habitait à un refuge pour SDF ( Sans Domicile Fixe ) :« El casal de la Pau ».

G - Francisco le franquiste avec saqueue de cheval. Me vendit son drive pen , un peu cher. 5 €. À la pause, ilsallaient s’assoir dans la rue sur la place juste devant l’ancien restaurantPatos de mon cousin Francisco Sorni Alos. ( Initialement El Sifó ).

H - Un type à lunettes qui passaitson permis. « Carlos » me dit Inma. Carlos en avait après leschemises ou la veste qu’il voulait que je lui amène de la résidence.

I - Antonio le plus âgé paraissait unpeu timide. Il excellait en les programmes Excel et Access. Très timide.

J - Helena , professeur sœur de PilarMartinez vint en voiture avec deux enfants. Chaque année elle se rendait àParis en famille.

K - Pilar Martinez , psychologue ettutrice

L - Pilar, professeur de Excel qui mefit découvrir le Google.Maps

M - La sœur de Pilar Martinez, aussiprofesseur : Amparo. Je revis Amparo l’année suivante au bar Ana III. Elledonnait un stage à proximité « Derecho sindical » et s’accompagnaitde son mari bien matinal. Quelques mois après, je la rencontre dans le métro enrentrant du C S I F. Amparo a les yeux bleus.

Amparo et Helena nous passaient en projection quelquesfilms : « Terminator » puis « les Hackers » »,puis d’ autres oubliés. Nous allions prendre le café chez la cafeteria Illy quien 2012 a fermé, transformée en bijouterie. Les « practicas » ayantété sautées, supprimées, nous allions pourtant les signer comme des voleurs unefois la semaine sous le porche de leurs locaux.

Comme programme non prévu, nous pratiquions un programmede dactylographie nommé Mécasoft.

Du stage A F I O V A résulta l’achat de l’ ordinateurSony Vaio, puis du stage ACOVA – Inserta ont surgi le reste des lettres de l’alphabet.

Concrètement l’ ordinateur fut acheté le tout premierjour de travail de Lucia Sorni Palau ma nièce fille de Pepe Sorni Domenech chez« Zapatería Anti Crisis » ( Plaza Alfonso el Magnanimo près de RocheBobois ). Vers noël.

I - Curso de “Imprenta Artes Gráficas”. Mancomunitat l`Horta Nord. 525 horas. Octubre 2008- Marzo2009. Maquinaria OFFSET Multi1860 en pulgadas y a color. Professeur :Francisco Gonzales Calabuig qui avait travaillé longtemps en Angleterre, et la psychologueMaribel qui nous faisait des séances de relaxation. Le plus ennuyeux consistaità nettoyer la machine après les impressions. Un des produits de nettoyage étaitun laiteux blanc : « Leche de burra ». De nombreux ajustementsde position du papier étaient le plus gros du travail. Une des employées du C RI S, Monse vint rendre visite à Jose Isidro, et nous partîmes tous visiter le CR I S en une autre après – midi. De là mon premier contact avec ACOVA. Un descompagnons de l’imprimerie, Antonio Esposito de Massamagrell continue de venirau C R I S. Aux dernières nouvelles, il travaille dans une piscine, ce qui faitqu’il cumule deux salaires. Je fis tout le stage avec Alfredo Prades, « elmarsopa » ( le phoque ) qui me posa des problèmes de grossièreté. Nousdûmes recourir aux services de Maribel qui essaya de modérer nos hainesrespectives. Durant ce stage, je trouvais une affiche sur l’ A E C C, et je m’yinscrivis.

Le stage de l’ A E C Cse déroula dans les mêmes locaux. Voir dans les journaux antérieurs ( et ici enpage T ) les comptes rendus de nos cessions tendant à l’abstinence. Un autredes compagnons était Ernesto Mora qui avait travaillé très jeune comme garçonde café, et aussi étudié les mathématiques. Les pauses nous centraient tousautour de la machine à café. Nous allions fumer dans la cour du fond. Frankie leprof faisait collection de montres.

À Noël il nousdistribuait des nougats et des chocolats, denrées très rares chez nous. Maribella psychologue nous payait chaque semaine, souvent à l’étage. Trois Euros € parjour de présence signée.

H - Curso Técnico auxiliar en Diseño Gráfico, en Instituto deFormación y de Estudios Sociales ( IF E S ). Fundación Pascual Tomás - Almassera – U G T 279 horas. 2008. Programas informáticos : IllustratorCS 3 – In Design CS 3 Photoshop CS – Lepremier jour de cours, j’arrivais en retard une heure ou deux dû à uneexcursion en groupe au zoo soit le BIOPARC, au « Parque de cabecera ».Le deuxième jour de classe, ou le troisième, j’essayai de démissionner mais leprof me dit de m’accrocher. ProfesseurJose Galcera qui partait en voyage en Egypte et cessait alors de voyager, carils projetaient d’avoir un enfant. Il avait voyagé à Paris, entre autres. Etantdonné le côté artistique qu’il fallait développer, je ne tirais presque rien dece stage. Simplement j’étais en activité. Je restai isolé de mes camarades, careux tous étaient très enthousiastes. Une des stagiaires, enceinte, manqua àbeaucoup de cours. Calle Miguel Abriat. Dans les toilettes flottaient desodeurs de hachiche. La résidence me concédait 40 centimes pour un café dans l’après– midi après mon goûter que j’emmenais. Mon compagnon de bureau cessa de veniraussi, pour des causes de récente paternité. David, je crois. Il faisait trèschaud cet été là. Je faisais de longues pauses sur le trajet à l’aller, à« La Jijonenca » climatisée de la gare de Massamagrell, et j’arrivaisjuste à l’heure, quand ce n’était pas en retard.

L’ordinateur de classeétait flambant neuf. Pour ce troisième étage, les escaliers coûtaient à monter.Les camarades se réunirent en un restau ensembles en fin de stage et firent desphotos. Il me fut donné un Pen – Drive de couleur noire Transcend 2 GB, que jene voulais pas accepter : « Je n’ais pas d’ordinateur ! ».Je n’y copiais aucun fichier, ni Photoshop ni In Design. Il nous fut remis unsac, un crayon, une gomme, et un cahier.

Rien ne m’est restécomme connaissances de ce stage si ce n’est le « R G B ( Red Green Blue ) etle C M Y K ( Cyan Magenta Yellow BlacK » des couleurs des photos. Larésolution se mesurait en ppp soit « Píxeles por pulgada ». Tout enfin de stage, les chaleurs venues, nous descendions tous ensembles déguster une« Horchata » glacée avec quelque biscuit « fartons ». Eneffet, un des camarades était garçon de café de son métier, et généreux. Leparc fut un bon contexte à ce goûter.

Par la suite, jerencontrais un des camarades dans le centre ville et un autre ( barbu ) dans lemétro.

G - Cursode AutoCAD, Cogrup, consultores en formación continua. Calle Barón de Carcer – 1er étage –Valencia – Cursos de reciclaje y de perfeccionamiento. Industria del mueblevalenciano – Diseño 3 D – 100 horas. 2008 – Profesora : una joven ingenierarecién salida del colegio. Le niveau étaitrelevé. Au début j’amenais mon PC, mais celui – ci tomba en panne. Premierétage. Nous prenions le café à Cafes Valiente, juste en bas. Un des anciens mepayait volontiers le café. Il fallait amener les feuilles de paye car ce stageentrait dans le cadre de la formation continue. Je cumulais ce stage dessamedis matin simultanément à un autre durant la semaine. De me voir tellementépuisé et la tête pleine de sueur qui ressemblait à un passage sous eau, lepsychiatre de la résidence Paco Bellvert Pradas inquiet décida de m’exempterdéfinitivement de la « laborterapia ».

Je n’eus plus à faire de pliage de draps enlavanderie, ni à former la vaisselle de la salle à manger. Par la suite jen’eus jamais de lits multiples à faire non plus. Deux ans d’exemption totalesans aucun souci , et donc la Paix.

F - Tallerde inserción profesional de Diseño gráfico,SERVEF. 300 horas. 2007. T F I L – F E V A L C E E – FederaciónValenciana de Centros Especiales de Empleo – Callede Salamanca ( nº 42 ¿? ) – Valencia ProgramaFreehand MX. Asistenciade un psicólogo del trabajo – Inma Roig me fit inscrire à mon tout premierstage durant la résidence, car elle se sentait le besoin d’un appui, n’yarrivant pas seule. Les ordinateurs étaient des Apple de Mc Intosch. Nousrentrions tard le soir à la résidence, juste pour dîner et nous coucher desuite. Des cours d’anglais complémentaient le contenu, impartis par Veronicaqui nous enseignait l’anglais et nous parlait des contrats de travail, puis avecun motard B M W psychologue barbu qui nous faisait des tests écritsinterminables outre un long entretien individuel dans lequel il fallait à unmoment fermer les yeux puis dessiner. Le professeur : Rafa. Je décidaid’acquérir le livre Guide Multimedia Anaya qui servait de livre de chevet et decompagnie dans les transports. La psychologue Silvia me le concéda et j’allais,tout content, le chercher à la F N A C Guillen de Castro.

Nous fumions dans larue devant les locaux. Un chocolatier français faisait l’angle de la rue.Habituellement nous prenions le café à « El almacen » ( « lehangar » ou « le dépôt » au fond duquel le serveur se mettait àjouer aux cartes ) proche. L’impression que j’avais, à sortir de la résidenceétait de ce grand luxe étalé des bars et des boutiques. Inma demandait des cigarettes aux passants dans la rue.Nous traversions la Avenida Navarro Reverter, et la Plaza de America pourpasser devant la cafétéria Canovas.

L’un des compagnonsétait Boni de Bonifacio, qui diabétique, se piquait avec de l’insuline. Son amide Betera ( Hôpital Psychiatrique ) qui fut libéré et retourna au domicilependant le contrat qui suivit, pratiquait chez lui du maquettisme de modèlesréduits d’avions de la seconde guerre mondiale. Il avait toute la tête et leprofil du porc échappé directement de la porcherie. Il avait des problèmes dedettes avec un dealer de cocaïne qu’il avait autrefois consommé. Inma et moipartagions le litre quotidien de jus de fruit. Voir la liste des compagnons destage dans le journal « Yo no fumo » page 2, que voici :

« FEVALCEEnos acogió como FEDERACION VALENCIANA DE CENTROS ESPECIALES DE EMPLEO , con lossiguientes compañeros de cursillo :

- Ana ( viaje a Paris ) ( revue en 2011 à Nuevo Centro )
- Juan Lozano , del pueblo Turis
- Rafa Lopez Grau qui fit les trois mois de contrat à mi –temps soit 6 mois
- Rafa Planeéis
- Orlando de Betera
- Boni ( Bonifacio ) de Betera
- Un compañero queno integro los 3 meses : Javier Vega. Le camaradevenait à mobylette.
- Otro que tampoco integró ( Peut – être Jorge ) ”

Le FEVALCEE stage se prolongea par un contrat de troismois chez Granada 3. Inma Roig nevint pas, Javier Vega non plus.

E - CursoAutoCAD. Integración de Nuevas Tecnologías y Formación o I N T YF 300 horas. Calle Dr Tomas Sala nº 45 B, Valencia 46017 . Año 2004. Iniciación a retoques fotográficos en Photoshop 7y a animaciones en 3D Studio Max versión 5, más una aplicación en maquetación en3 D de arquitectura. AutoCAD 2002 Esp. Profesores : Carlos Nararro y una de suscompañeras profesora Mari Angeles. Nieves était une bonne camarade. Arrivant de Suisse, jeune et jolie, elle avait posé nue pour des peintres.

MaríaGomez me donna une copie de « El Espantatiburones » de Disney. ( « Gang de requins » en français ). Undes requins Lennie y est ridiculement végétarien. Le soir, à la maison jerefaisais les exercices, et certaines nuits je partais en cours sans avoirdormi. Le professeur s’acheta une voiture B M W neuve. Nous allions fumer dansle couloir. Un des camarades père de famille s’obstinait à rester presquejusqu’à se voir fermer la porte. J’obtins mon diplôme que j’ais fini par perdre. Ici les photos du prof et celles des camarades. Suit,pour commencer le journal du premier jours de cours :

J’écrivais innocemment en espagnol, sans me douterdu fonds hyper pourri de ce pays de merde.


I N T Y F - Integración de Nuevas
Nieves Tecnologías y Formación




Dirección : CalleDoctor Tomas Sala , nº 45 – B
46017 – Valencia

Trayecto : 45 minutos o75 mn – Líneas 2 o 3 , y 10 ( o 4 )

Atención de EnriqueAparisi Andrés ( Busnº 9 )

Teléfono : 96 – 377 – 57– 97

Cursillode Técnico Auxiliar de Diseño Industrial e Interiores

Duración: 709 horas o sea aproximadamente 118 clases de 6horas, empezando el 17 de junio y concluyendoel 2 de diciembre del 2004.

Seintentara incluir una semana de vacaciones en agosto.
[Semana por recuperar a diciembre ]

Horario: de 8 h 00 a 14 h 00
Subvencionadopor los fondos europeos o sea gratis.

Seprevén salidas a exposiciones y Ferias de muestra, y también visitas aempresas.


AutoCAD = Automatic Computer Aided Drawing

Elcursillo comprende 5 módulos : 1 a 5

1 – Programa de dibujoinformático en 2 D y 3 D

+ introducción informática
( probablemente MS – DOS ? ) ( pues no )
( MicroSoftDiscOperatingSystem )

+Autocad 2002 / 2004 en 2D y 3 D

2 – Maquetacionvolumétrica. Realizar la documentación grafica.

3 – Programa informáticode Rendering

+ 3 D Studio Max
+ Photoshop retoque fotográfico

4 – Documentación técnicade proyecto final

+ Normativas , etc.

5 – Sensibilización medioambiental

Losdocumentos propios de Autocad y cursillo anterior están en los cartones deParis, en uno o dos de entre 50.

Conocidouna compañera de cursillo muy amable, muy simpática con quien comparto muchasafinidades :

Nieveses emigrante de segunda generación, llegando a Suiza a los 5 años, y viviendoallí hasta los 16. Por tanto domina el francés perfectamente. Estudió letras, yse paso a Math Sup y Math Spé. ( “ La elite de la elite “ según decía un profesor ) Ello revela una muyviva inteligencia.

Mathématiques Supérieures et MathématiquesSpéciales inician las carreras de ingenieria.
Puedeque sea debido al bilingüismo, que con dos palabras distintas para cadaconcepto, y estructuras lingüísticas dobles, desarrolla el Q I. Es como un ojoúnico sin percepción de relieve, comparado con dos ojos, que permiten captarotra dimensión, afinar las ideas o los razonamientos. Por ejemplo el robot de la Estación EspacialInternacional ( I S S Internacional Space Station ) funciona condos cámaras.

Además,¿ que otro nombre que Nieves encajaría mejor con la Sierra ? Sierra + Nieve = Sierra Nevada

Elprimer día, en la presentación del cursillo, no intercambiamos ni una solapalabra, pero ambos nos levantamos de la silla con una mirada hacia el otro.

Primerdía de clase, primer descanso : me atrapa la chica, que ya me iba a hacer porel bar “ bando aparte “. Nieves deploraque parece que estuviésemos haciendo otro cursillo dentro del bar, y solos ellay yo cambiamos del tema general, haciendo “ conversación aparte “.

Prueba para otro cursillo, la vísperadel I N T Y F

Sociedad :Técnicas Avanzadas de Estudio - Tae
PasajeVentura Feliu – nº 10 – 12 Bajos

Administraciónde personal - 310 horas

21 dejunio al 27 de septiembre
Vacacionesa agosto, del 7 al 31

Mañana de9 a 15 h - o bien tardes de 15.30 a 21.30

Resultadosde la prueba en www.e-taes.com
Desempleados: Cursos / Resultados

Tel 96 – 341 – 35 – 37

El I N T Y F nos propone de festivos las fechas siguientes:

11– 12 – 13 – 14 – 15 – 16 – 17 de agosto y
6– 8 de diciembre

Eldía 7 de diciembre se dedica al medioambiente.

Seprolonga el cursillo, no hasta el 2 de diciembre, sino hasta el 3 o el 13.

Horario del cursillo :

- 8ha 10h : practica 2 horas
- 10ha 10h30 : descanso de 30 mn
- 10h30a 12h50 : teórica 2 horas 20 mn
- 13h a 14h clase 1 hora

Profesores :

- CarlosNavarro
- DiegoDíaz
- MªÁngeles Calvo
- EnriqueAparisi – Tutor y director

Tel : 96 – 377 – 57 – 97

Primer curso :

Sistemaoperativo = Windows 98

Aplicaciones: Explorador de Windows

Archivo/ Nuevo / Carpeta - Crear carpeta cad – pss

Usuario: CAD Contraseña 3 D S
Usuario: cad Contraseña 3 d s
Cierrecon usuario : NO
Practicas : Exploración de Panel de Control

Eliminar Iconos delEscritorio

Características del fondodel Escritorio, de apariencia y temas, de horario, etc.


El primer contacto :

Estabayo en el pasillo, leyendo el cartel según el cual este cursillo es financiadopor el fondo social europeo. Muy interesante, pero de repente me veo acercaralguien desde la calle a toda marcha y con tacones ruidosos ( cuero = piel debestia muerta ) . Me aparto para esquivar, y entra la muchacha encarándose almismo tablero.

Nospresentan el cursillo un profesor y una profesora.

Alsalir, marchaba detrás de la chica, a cierta distancia, y por poco me desvío deuna visita planeada: a poca distancia fui a hacerle una visita al cementeriomunicipal a mi padre. Unas lágrimas.

Primer día de clase :

Llegocon media hora de antelación, y están cerrados tanto el colegio como todos losbares.

Ando,espero, me paro, y llega Nieves que intercepto: “ Hola “. Nos presentamos y contamos nuestras historiasrespectivas de emigrantes.

Pasael rato, y por fin llegamos tarde unos minutos los dos a la aula.

Conversación a la salida, camino delbus y bus :

Nievesvivía en un pueblo del mismo Cantón que Gruyeres. Contaba su pueblo con 400habitantes, pero hoy día puede que queden solo 100 o 200, ya que la poblaciónmigra a las ciudades.

Dicela chica que los Suizos son hipócritas. Son neutros cuando les interesa.

Ensu anterior empleo, Nieves era operadora en Marketing Directo, en un sector yproducto que le parecía poco honesto.

ElMarketing que me empleó a mí 18 meses parecía honesto, estudiando mercados, sinvender nada más que información. La herramienta de base era idéntica: elteléfono ( el mío con soporte informático sin ratóno papel a forma de “ hoja de ruta “ y de apuntes )

Seme ocurre exponerle a la chica la Teoría 4, las cifras que comentamos en elbus. Con su nivel intelectual y vivacidad, Nieves me precede en algunosrazonamientos. Lo pilla todo.

Lachica vive “ de momento “ sola, aunque busca a compartir vivienda.

Nose que le parecería compartir este piso. O bien compartir más…

Otros compañeros del cursillo : Antonio - José

-José Luis - Javier - María - Victor

-Marisa ( en realidad Vanessa ) - Carmina

-Amparo - Paloma Chica morena - Miguel
Nievestiene una apariencia muy civilizada, muy sociable en el sentido que :

- Esalgo finita en la silueta, más bien elegante.
- Elescote bastante abierto no desorienta ni agrede
- Llevael pelo corto, a la forma de las presentadoras de televisión de interior,no la cabellera salvaje de las mismas presentadoras de terreno.
- Gustasu nariz por su originalidad
- Susojos marrones oscuros y su pelo moreno traicionan una intensa vida intelectual

Enla primera conversación que tuvimos, me desarrollo tales razonamientos queapenas sabia ya por donde tirar, sacar las manos de los bolsillos, o haceralgo. Me dejo la chica aturdido.

Leveo en grupo muy abierta, quizás sea por el contraste que opongo al convivir ocompartir con varios a la vez.
Parecetambién no saber por donde tirar : si instalarse en Madrid, o quedarse enValencia.

Nievesse ríe mucho en grupo o en compañía, igual que yo de más joven, tomando el peloa todos, allá por donde iba. No recuerdo, sin embargo, haberme reído jamás deltrabajo ni de los superiores jerárquicos.

Aldespedirnos en la parada del bus, la chica me hace tal sonrisa y reverencia,que no me acuerdo que nadie me haya nunca demostrado tal simpatía. A sureverencia, intento pararle los pies : ¿ Pero que es eso ?

Igualaceptaría pasar la tarde de mañana viernes en charlar, conversar.

Enel cursillo, no hay ni una sola rubia. Para estas, sencillas y espontáneas, loscálculos e dibujos técnicos serian una infinita e inaguantable complicación.
Encomún tenemos el idioma francés, las matemáticas ( 20 horas de clase por semana) , la física ( 12 horas de clase por semana aparte de los exámenes orales ), ypuede que la soledad.

¿La puedo traer al Bacón del Levante con la casa tan sucia y llena de cartonesque parece un deposito - almacén?

Igualle tendré que hacer la misma reverencia que me hizo ella a mi.

Segundo día de clase : viernes 18 – 06 – 2004

Nievesse presenta con falda corta y con blusita rosa. Le aparenta el trasero másconsecuente que en pantalón.

Losdiálogos han quedado, por parte mía muy limitados.
(discos de música – meses y días del calendario )

Tenemosotro punto común : es la chica vegetariana. Ese comportamiento devida añade a su atractivo.

Pareceque Nieves haya pasado los 30 años.

Ayer mañana, tarde y noche :

Meatraque con Natalia en la clase de francés a desarrollarle extensamentelas 9 + 1 teorías, la mayoría enfrancés. Hable casi yo solo durante más de dos horas.

Todoel día, debido a un flemón por reducir y eliminar, me sometí todo el día a unadieta estricta de cítricos : 3 o 4 kilos de limones y naranjas prensados. A consecuencia, tengo el humor sanguíneolimpiado, se me ha pasado totalmente el dolor.

Muchomás eficaz que cualquier antibiótico, y en 24 horas.
Debidoa la naturalidad de la dieta, y al atracón de explicaciones, de palabras, hoytenía como el cerebro líquido, y casi imposible de comunicar con quien fuese.


VEGETARIANO BUSCA
VEGETARIANA
Nieves



Carlos Navarro, leprofesseur.

Jose Luis



María Gomez



MónicaBelmonte


Javier


Paloma


Pedro = Pierre


Amparo

Vanessa

Avec ce stage, nous fîmes deux excursions : une de« interiorismo » Calle Caballeros et l’autre à Feria Valencia, à laFeria de Muestras, au « S I D I » soit le Salon International De l’Illumination ( et des meubles, je crois ).

DCurso demanejo de Internet por los servicios del ayuntamiento de Paris Una semana de clase – 1997 – Rue Wurtz – Ce stagede trois jours était payant, pris en charge par ma mère. Je rentrais très tardle soir.

C - Cursoen formación de ofimática . S O T R E S. Sous Traitance et Sevices – Colombes, Paris.1996. Iniciación a : Word – Excel – Access - Monsieur Koldefypsychologue nous assistait. Son caniche blanc me mordit salement et me fit saignerà la main. J’avais apporté au psychologue une copie de mon livre sur le jeûne. MadameDominique Labro menait les cours. Deux compagnons me sont restés comme desamis : François Rodriguez portugais et Isabelle Vicherat qui inquisitriceme demandait « Tu préfères manger ou fumer ? ». (Vicherat : « Tu sais ce que c’est le con d’une femme ? » ) Lesautres étaient bien trop dégradés. Nous faisions les pauses au même étage, dansla pièce d’à côté. Nous descendions au Rez de Chaussée y faire des recherchessur le minitel. Reine était le nom de la secrétaire. Un grec stagiaire de troppetite taille avait essayé des études de médecine, mais sans succès. Le R ER compris, le voyage était long.Horaires d’après – midi à mi – temps. Dominique Labro était végétarienne, et mefit connaitre, documents à l’appui, l’Association Léonard de Vinci avec uneliste de végétariens célèbres. François Rodriguez était handicapé suite à unaccident car il avait causé la mort de son passager en voiture et ne s’en étaitpas remis. Il habitait une cité – résidence à Argenteuil. Il vint à la maisonen une après – midi. Nous sortîmes,après Internet à la maison, faire un tour à la Bibliothèque Nationale de Franceou Bibliothèque François Mitterrand.

B -Curso AutoCAD Centre d ‘ Etudes de Technologies Avancées ( C E T A ), rue des trois bornes - Paris.1994. Formación en informática dediseño asistido porordenador C A D. Extensión del curso C E T A en perfeccionamientos. Iniciaciónal M S – D O S o MicroSof Disk Operating System anterior al Windows. Professeurs : Claude Canderlé et Joël Bureau avecun remplaçant : Mr Spitzberg. C E T A déménagea, pour aller, je crois,Boulevard de Ménilmontant. C’était mon tout premier contact avecl’informatique. L’ A N P E rue Auguste Perret avait financé le stage. Je coisMr Rousseau ou Durousseau qui reçut un compte – rendu de mon suivi et me refusaun second stage pour médiocrité. A la fin du stage, je dessinais les chiffresanthropiques en polylignes en restant le soir bien plus tard que mes compagnons.L’occasion de Noël ou de la fin du stage donna lieu à une grande fête dans leslocaux au fond de la cour de la Rue des Trois Bornes. Un pot planté de bambousdécorait la cour.

A - Cursode diseño industrial en mecánica. AF P A – Centre de StainsMinisterio de Trabajo – Une série de test psychotechniques à Corbeil futnécessaire. Je volais un cendrier dans la salle d’attente : un puits enmétal à trois étages dorés – Asociación de formación profesional para adultos. Paris.1720 horas de clase. Noviembre del 1981-nov. del 1982. Professeurs : Monsieur Falipou avec sa Citroën GS, MonsieurBocognano le corse qui courait ses entrainements, et le prof de maths tellementaustère qui est resté en ma mémoire anonyme avec sa Volvo orange. Nous yapprenions tous les procédés de fabrication et d’usinage dans le détail.

Durant le stage, trop intensif et trop épuisant, undes stagiaires se suicide. Guy avait pourtant tout pour être heureux, à partles perturbations qu’il causait en salle de dessin. Ce suicide me déstabiliseet me cause deux semaines d’arrêt. Durant ce stage, le délégué Thierry Barboni (venu des Alpes ) m’emmène courir au square en face, m’ayant fait acheter des chaussuresde sport « Nike Air » de grand luxe. Nous étions logés, ( ma chambre étaitla nº 504 au 5ème étage ) et nourris en restau d’entreprise, etpayés à 75 % du salaire antérieur. Parfois je travaillais durant les nuits.Jean Luc Goga - Raoul Maio – Younès Othman – Luu Min Hoang – DominiqueBonargent ou Bob – l’ancien vétéran au fond de la classe : Gilbert Cognardque j’allais visiter par la suite dans sa campagne. Il dessinait les barresd’appui des bus. – Yvon Tasseau – Sylvie Grandmoursel – Michel Dubois surnomméBoy – Boy – Eric Squizatto situé au fond de la classe venait de Savoie.

EXPERIENCEPROFESSIONNELLE


18 puestos principales cubiertos

17 - Granada 3 ( Centro Especial de Empleo ) – Agence de publicité. Auxiliaren diseño gráfico Freehand MX y peón en la preparación de una campañaelectoral. Cliente : Coalición Valenciana, Calle Sorni, Juan García Santandreu,diputado de extrema derecha - Enero a Marzo 2008. Professeur : Oscar –Compañeros : Juan Bautista Lozano del pueblo de Turis, e Inma Roig - puis Ana. Deux autres des compagnons venaient de l’hôpital psychiatrique de Betera.Un des collègues de l’entreprise aux cheveux blancs nous emmenait dans la camionnette.Nous partions livrer. Traversant la rue, il y avait une grande remise ouentrepôt de matériels et journaux divers. Comme propagande, un largefeuillet : « El Palleter ». Le temps se fit long car il n’yavait pas de travail. Nous passâmes plus d’un mois sur des fauteuils àroulettes des handicapés et un autre mois sur une affiche de campagneélectorale. Quelque jours furent consacrés à confectionner des cartes de vœuxpour Noël, ce qui donna lieu à un concours avec 100 € à la clef. Il fallaitréaliser, pour pouvoir colorier, des contours fermés. Je passais le midi deuxlongues heures ou trois au « Bar de la Plaza » avec seulement monsandwich et un café. Parfois j’allais rendre visite à Carmen et Leon, en toutdébut d’après – midi. Calle ArquitectoGascó nº 7. Rafa Lopez Grau me donnait quelque cigarette, et l’autre RafaPlanells fumait des Nobels. Ana fit un voyage de tourisme à Paris. Lozano (surnommé Superclick ) insistait et persistait que je devais absolument memettre à AutoCAD. Nous allions ensemble certains midis à la bibliothèquevoisine. Les prospectus et les bulletins de vote étaient à emballer, stockerpuis à expédier vers les bureaux de vote. Le tout dernier jour, j’eus droit àun menu au restaurant chinois sur la même place en face du bar. Nous avions untravail accessoire qui consistait à emballer du café de percolateur« monodosis » et à aller le livrer chez Cafes Valiente, dans la zoneindustrielle de Paterna. J’étais payé, vus les prélèvements de la résidence, laridicule somme de 50 € par mois. 3 € par jour travaillé.

16 - Profesor a domicilio de clases particulares de matemáticas, física,química, Español y gramática francesa. Paris, año 1978 y año 2000. En total 15alumnos y alumnas de todas las edades. Idioma de enseñanza : el francés.Quelques uns de mes élèves : Sylvie Boisseau, Sylvie Ribette, Maryline Ribette,les trois frères et sœurs Mékidèche algériens, Meftah Tayari et son petit frèreMehdi tunisiens. Francine Ribette, maman de Sylvie habitait au métroChevaleret. Son père était chef de gare à la S N C F. Avec Sylvie nous allâmesvoir le pape Jean Paul II à la Place de l’Hôtel de Ville. Ça devait être vers1978. D’autre fois je l’emmenais sur ma moto. La mère des Tayari était femme deménage. Madame Boisseau me servait systématiquement l’apéritif, un vin doux. Rue ( XY ? « un des fondateursdu jardin des plantes » )… A consulter sur le plan de ville. Ça y est, RueFagon. Sylvie sa fille se rendait aux cours de danse de l’école américaine BoulevardRaspail. Son programme était de passer le B E P C ou Brevet d’ Etudes duPremier Cycle en fin de 3ème . Nous voyions et révisions lesidentités remarquables. ( a + b )2, ( a – b )2, ( a + b)( a – b ) = ( a2 – b2) . Elle m’envoya une carte postaled’Egypte et vint à une des fêtes de fin d’année avec les copains de Sup auVieil Ecu rue Saint Honoré sur ma moto. Passé un temps, je donnais des cours àcinq élèves de Terminale préparant le Bac en les locaux de la faculté deClichy. Jean François Goubely se joignait à eux et ne me payait pas. Une autrede mes élèves fut Michelle Lefort Lauvergne, la sœur de Corinne. Michelle (Mimi ) venait de s’offrir une superbe chaîne Hi – Fi qui couvrait tout un pande mur de sa chambre. Les Lefort Lauvergne habitaient effectivement au 13 rueThérèse, une perpendiculaire à l’Avenue de l’ Opéra.

Une de mes élèves à son domicile n’était autre quela fille d’une des douanières de Rungis, Madame Coche. Je me rendais à sondomicile avec la moto.

Trois autres de mes élèves : Raouda, Kelile et YoussraBouzghaia, fils de Youssef, et voisins immédiats de ma mère au 4ème. Pendantque j’impartissais mes cours, Aicha me servait un couscous. Youssef devintresponsable d’équipe dans son entreprise de nettoyage. Il usait une voiture deservice.

Une autre de mes élèves était Marie Paule Da Silva,voisine et parent très éloigné. Marie Paule était la fille adoptive de JuanRodriguez Nieto, et de Felicidad Da Silva, sa mère portugaise. Juan était lefils du frère de mon oncle ( el chino ) qui avait marié la sœur naine FranciscaSerrano Lopez de mon père. En effet, El tio Miguel époux de Francisca Serranoavait un frère, surnommé El chino, qui donna un fils : Juan Rodriguez (surnommé El Bolico en raison de sa calvitie comme une boule ). Marie Pauleétait donc aussi voisine, compagne de jeux et de fêtes, habitant elle-même au109 berges 4éme étage avant que sur leur départ, cet appartement ne revienne àmes parents. Je ne la faisais donc pas payer en espèces. En fin d’un des cours,je lui mis une fessée. Marie Paule est devenue lesbienne.

Un autre des mes élèves : Fernando Sorni Domenech nese rappelle pas, mais au « chalet » de Masias, vers 1972 chez lemédecin Paco Sorni Bailach notre oncle, durant un été, je lui donnais quelquecours de maths, en complet désintéressement.

15 - Sociedad “ M V 2 ”de Eric Mary y Fernand Wisenfeld2 – Maxiphone Teleoperador en encuestastelefónicas de marketing directo durante 18 meses a media jornada, 1998-1999.Idioma utilizado : el francés. Principal cliente : la Renfe francesa, o sea la S N C F, estudio del posicionamiento de las líneasdel A V E. ( T G V ). Nous avions deux superviseurs: Anne Marie de Tours, puis Isabelle Mechache la très laide. Au 89 Avenue Aristide Briand, un des fondateurs dela S D N. En face des bureaux s’étalait lesquare Jean Moulins, héro de la Résistance sous l’occupation. En bas, le bar “La 5ème Avenue ”. ( « Range tesjambes » disait un jour la patronne )

Anne Majetic d’origine serbe ou croate s’habillait souvent de noir. Letitia Tardivel,la blonde pulpeuse superviseuse de l’ Etude du C E R E Q : Centre d’ Etudes et de Recherche sur les Emplois et les Qualifications qui sondait dix mille personnes sur leurstrente ans chacun d’étude et d’emploi – Jean Paul Backman s’occupait durecrutement – Nathalie XY ? mangeait des pommes à demi jetées pour avoirtrois piercings aux oreilles le lendemain. J’en avais le cœur fendu – Philippe Demarassévivait chez sa mère à Neuilly sur Seine et était à deux doigts de rentrer dansles ordres après ses études de droit et son roman qu’il essayait de publier :« Le détective ». ( Il m’en remet une copie mais je la jette audéménagement de 2011 à mon retour à l’appartement ). Nous faisions quelquepromenade ensembles avec Philippe au quartier latin , puis au Jardin desPlantes ( Tu vas te faire beaucoup d’ennemis, me dit – t – il au sujet desanimaux à éliminer dont je lui parlais ) – Christophe Z l’ancien bijoutier –Moes écrivait des romans et perdit son père. Les autres clients, à part lepannel SNCF, étaient les pneus Euromaster, les camions Renault, les ordinateurs,et les emballages portugais. Aussi l’A N P E ou alors l’ A F P A . Un autrebureau se tenait en face sur la route nationale N 20. Une des études porta sur le R E R parisien et le métro RATP. Nousfinissions seuls Anne Majetic et moi. Le superviseur voulait « de laneutralité ». Les horaires en semaine devaient être de 17 h à 21 h.

En arrivant chez MV2, j’avais un appareil digestifen très mauvais état. Mes selles étaient particulièrement putrides, empestaientle diable, puis cela s’arrangea vite. Trajet du bus nº 62 - Porte d’Orléans.Carrefour de La Vache Noire. Unecollègue professeur charmante : « manger les bébés ». Ah oui,j’y suis : Dorothée Charrier qui étudiait à l’ I U F M = InstitutUniversitaire de Formation des Maître. L’étude Avery des matériels de bureau nousoccupait les samedis matins. Je me fis qualifier de « L’homme des bois »à manger des fruits dans le jardin. Letitia Tardivel ou Léti ( du C E R E Q ) partà Londres après une conversation qui nous divise dans le bus au sujet de l’ U NE S C O. L. Tardivel étudiait la politique en deuxième année à l’ Université. Puisnaissait The « O ». La blague de Philippe qui partit en vacances enNorvège sur les fjords puis en Egypte en croisière sur le Nil. « Sondeur ».Une autre étude des études des camarades portait sur les dons d’organes.

Philippe avait une blague : « Ecoute,j’ais pas le temps. Je pars me suicider, et je te rappelle après ».

Il fallait compéter la quotidienne Feuille deroute. NRP était une des cases : Ne Répond Pas. Nous avions des quotas àrespecter. Le jardin de MV2 abritait des Forsitia dont les fleurs jaunesapparaissent avant les feuilles. Je ramenais des lilas bien fleuris et trèsodorants au bureau, du square Jean Moulin d’en face : « Tiens Moes,fourre ton gros nez là – dessus ». Ensuite la fleur géante se fichait surmon ordinateur pour n’en plus bouger. Elle parfumait tout le bureau.

Lorsque je quittais MV2, les appels étaient devenusautomatiques, et il n’était plus besoin de composer le numéro à la main, grâceà un grand ordinateur qui les composait. Anne – Marie me téléphona chezmoi : « Bonne chance ». Ecœuré de ses récriminations constantesà mon égard, j’étais parti sans rien dire. MV2 étalait ses bureaux sur un Rez –de – Chaussée et deux étages de hauteur, outre les locaux juste en traversantla N 20. La concurrence se tenait aussi à Montrouge près de là. Juste en bas dubureau, un petit supermarché. À l’angle en traversant : Lala, leconcessionnaire MZ.

Les collègues étaient estomaqués : « Tuveux refaire l’ O N U ? »

14 - Sociedad OT E R o sea Organisation Technique d ‘Etudes et de Réalisations Industrielles - Delineante, diseño de plantas demontaje por soldadura autógena de carrocería de vehículos Peugeot, Renault y Citroën. Nanterre, Paris. Durante 6 meses, 1992.Empresa E T T, pasando a fijo tras periodo de prueba. Directeur : MonsieurXucla d’origine catalane et ayant un fils en Sup – Chef du Bureau d’Etudes :Monsieur Hutin. Un des collègues : N’Guyen asiatique, puis un autre :Schiess. J’eus en cette mission une dérive horaire. Je partais le dernier etj’arrivais aussi le dernier, certains jours vers midi. Sur vingt employés, nousn’avions qu’une seule et unique femme : la blonde secrétaire. Pascal Cardon– Monsieur Rose avec sa barbe – Un local nous permettait de prendre nos repasdans l’entreprise. Après le travail, je fréquentais le Centre commercial « LaDéfense » avec son Supermarché Auchan. Ce R E R m’emmenait jusqu’à Auberpuis j’avais un long trajet du bus ligne nº 27 depuis Opéra jusqu’à mon arrêt Jeanned’Arc. O T E R changea ses locaux,passant d’un sous – sol à un grand bureau bien illuminé. Je déjeunais dans lacuisine. Les vendredis, un pot ( cocktail ) était donné et tous s’enivraient. Unpetit arabe gérait les stocks sur un ordinateur. Musulman, il ne prenait jamaisd’alcool. OTER fit faillite puis ré – ouvrit quelque année plus tard.

10 a 13 - Grupo G I F Groupement de l ‘ Intérim Français. I N S E T 1 et I N S E T 2 Institut National de Services et d’ EtudesTechniques. I F O P S. Institut Français d’ Organisation et de Prestations deServices. Paris y suburbios. Trabajos temporales. Diseñador industrialen diversas misiones de trabajos temporales. Industria y metalurgia - Durante 1año, 1984-1986. Empresas clientes :Electrification Nouvelle, B E T A extensiométrie ( Bureau d’Etudes et deTechniques Appliquées ) des capteurs de force là où j’avais comme voisins lescamions Renault R V I, le Cabinet Kohler qui me détacha. Un des responsablescommerciaux d’ INSET , Mario Poma connu aux colonies de vacances de la S A T meconcéda une augmentation et fit donc un avenant au contrat.

En intérim, il faut chaque semaine faire signer lafeuille d’heures hebdomadaires par l’entreprise puis la transmettre à l’agence.

9 - Gabinete Jean – Louis Doye. Diseñador endesalinizadoras potabilizadoras de agua de mar y chapados de centrales nuclearesdurante 6 meses,1983. Principales clientes :la S I D E M ( plantas en países árabes) y Framatome Transporte neumático de carbón Jean Louis mefit passer un essai – Collègues : Dominique Lamarck puis Laure, très jolie végétariennedivorcée qui partit en vacances au Portugal. Un intérimaire vint nous prêtermain forte. Certains jours, le patronétait un peu éméché. Je portais les raffinées cravates en cuir Pierre Cardin dema future belle – mère Malaguarnera à qui je finis par échapper. Un autre de nos clients était Delas Weir (chimie ) pour qui nous ne faisions que des écritures au normographe. Je necomprenais rien aux « bouilloire » à déssaler l’eau de mer que jedessinais : plaquage au Cuivre – Nickel … Le midi nous allions chercher unplat chez le traiteur à proximité, ou alors je déjeunais un sandwich au tabacd’en bas. Pendant les heures de travail, nous écoutions la musique sur lachaîne Hi Fi.

Nota : J’ais oublié deux emplois principaux etquatre autres activités : Le Ludo Jeux –Jouets à Galaxie Centre Commercial Italie 2 ( reponedor de juguetes ) du à unsurcroit des ventes pour la période de Noël , puis Samodef Bruynzeel, lesrayonnages d’archivage chez qui je créais un produit de rayonnages fixes devantremplacer les importations de Hollande. Puis aussi « Intento de vender làminasA4 con las cifras antropicas fotocopiadas » Calle Don Juan de Austria. Et encore : “ Clases de verano en la academiaCastellano “. Il manque deux essais de publications : un livre sur le jeûnevers 1984, puis un livre sur les pilosités « Spécial Poils » en 2001.Depuis Paris - Une de mes élèves à son domicile n’était autre que la filled’une des douanières de Rungis, Madame Coche. Je montais aussi un systèmed’alarme électronique en le domicile de la grand - mère ( au Métro terminal ancien Eglisede Pantin ligne nº 5 ) de Jean Marc Vieillevigne, un camarade de classe de TC del’ école des Francs Bourgeois. Ce Notase trouve développé ici en ce fichier aux pages 57 à 59. ( pagination modifiée)

8 - Société Calberson International situada en RungisM I N Mercado de abastos de Paris. Siège social au 151Rue Cardinet. 75017. Agente de aduanas en declaraciones de mercancíasperecederas. Durante 1 año, 1981. Colaboración con mataderos industriales eimportadores de carnes frescas y congeladas. 60 000 toneladas de mercancías declaradas y pasadas poraduanas. Directeur : Monsieur Audry qui roulait ses cigarettes avec le pire destabacs et touillait son café avec un crayon – Déclarant Monsieur Roger Guénec –Collègue Abasse Hobaya domicilié rue d’Annam – Voisins de bureau : MademoisellePardon, je crois Michelle et Monsieur Bourlès de l’autre côté de la baie vitrée.A mes derniers jours travaillés, Mr Bourlès m’offrit un livre de titre« Et le bonheur, Aurélien ? ». Il roulait en sa voiture RenaultFuego et eut un léger accident avec.

La marchandise à libérer était déclarée en « BD A » ou Bordereau de Déclaration Accélérée en trois exemplaires. Sitôt ceB D A signé, le chauffeur pouvait partir livrer, libre de douane. Puis ilfallait alors établir la déclaration complète et définitive, le C1, ourégularisation qui supposait tous les calculs de taxes de douanes. Bien – sûrle C1 était vérifié par les douanes comme bien conforme au B D A. Si le C1était incorrect, mal calculé par exemple, les douanes nous bloquaient toutesles marchandises jusqu’à rectification du C1 en bonne et due forme. Si lespaiements n’étaient pas à la date, nous étions aussi « bloqués endouane » jusqu’à porter le chèque du montant exigé. Bloqués, plus aucuncamion ne passait. La panique s’emparait alors de tout le bureau.

Sur un camion de 20 tonnes de porc, déclaré à 10francs le kilo, soit au prix de gros, la valeur de la marchandise était de 200000 francs. Pour ce même camion, la T V A de 7 % montait à 14 000 francs soittrois mois de salaire d’un ouvrier de l’époque. Le bœuf cotait bien davantage.Au total, sur 60 000 tonnes de viande dédouanée, d’une valeur moyenne de 25francs le kilo, je vis passer sous mes yeux un capital de 60 000 000 kg x 25francs = 1 milliard et demi de francs nouveaux, soit 230 millions d’Euros. ( valeursen 1980 ). La plupart ne payait que la TVA, car d’origine européenne. Letransitaire ( nous ) facturait 2000 ou 3000 francs par camion au propriétaire,rien que pour le passer en douane, et acquitter la TVA qui nous était bien sûrremboursée par le grossiste. Il y avait trois types de TVA soit à trois tauxdifférents.

Chez Danzas, je passais le même tonnage, soit 60000 tonnes, mais les fruits et légumes étaient de valeur bien moindre. Lebeurre du Danemark était portant cher, ainsi que les camions de morue deNorvège ou de noisettes épluchées des pays de l’Est. Le fromage hollandaisarrivait régulièrement : Edam, Gouda, Mimolette.

Parfois il fallait peser le camion à plein, soitchargé, puis le faire revenir peser à nouveau une fois le déchargementeffectué, et calculer le poids de carburant consommé entre les deux pesages.

Certains camions étaient équipés d’une cuisine aucamping – gaz située près des outils, pratiquement entre les roues du camion. Leslongs trajets amenaient des équipes de deux chauffeurs qui se relayaient auvolant. Certains chauffeurs puaient, empestaient fourrés dans la cabine depuistrois jours. Nombre de cabines étaient équipées d’un lit.

Quelques camions de porc allaient livrer ou vider àSaint Symphorien sur Coise près de Lyon, chez William Saurin ou chez Saupiquet,là où s’élaborait en usine le cassoulet ou la conserve. Nos clients sur le M IN étaient Sogéviandes, Porcgros, ou Morey. Certains chauffeurs avaient commeunique destination le bureau de douane, et strictement aucune instruction quantà la livraison que le client nous déterminait par téléphone. Certainesmarchandises étaient congelées, d’autres destinées aux entrepôts decongélation. Une tête de cheval tombée du camion trainait sur la voie, au sol …des bennes d’ossements porcins se destinaient à la récupération pourl’industrie pharmaceutique qui les broyait en poudre. De grandes flaques desang de ci de là rendaient la circulation difficile car cela glissait etempestait. La plupart allaient à la découpe. Un des bars du secteur des viandesétait « La bidoche » ; y circulaient des tenues de bouchers enblanc emplies de grandes taches de sang des quartiers de bœuf manipulés à lamain qui allaient se désaltérer entre deux carcasses de porc entières. Près duC3 se tenait « La Marmite » et au poisson « A la marée ».Pour me changer les idées, j’allais parfois me promener au grandissime bâtimentdes fleurs … cela sentait merveilleusement bon.

Je prenais d’un camion un grand salami du Danemarkque je vendis à Rachid Chekkar mon voisin légionnaire de nationalité algérienneet à Josiane sa malheureuse compagne. Le saucisson devait bien peser 5 kg deviande pas chère ( bradé pour 50 francs les 5 ou dix kilos ) . Ils le mangèrentet par la suite conçurent leur fille unique Carole.

En cas de problème en nos nuits, nous avions lestéléphones des responsables du bureau que nous pouvions réveiller à 4 heures dumatin, s’il arrivait par exemple un camion non annoncé ou non prévu. Parfois ilfallait réveiller Mr Martin ou Mr Cervési le sous directeur. Certaines fois levétérinaire tenait à « contrôler la qualité sanitaire de la viande »,c'est-à-dire qu’il se servait en un bon « prélèvement delaboratoire » qui terminait dans sa cuisine. Des morues disparaissaientchez le véto, mais sur 20 tonnes, cela passait inaperçu. Il signait alors desuite le L P S ou Laisser Passer Sanitaire. Parfois aussi le phyto aussi seservait en marchandises.

A l’époque je volais de la marchandise carnée queje troquais à Martine Wanstock contre des fruits et légumes. Les nuits devacations douane, je disposais de la voiture de service : d’abord unevieille 4L Renault puis l’Acadiane Citroën neuve. Une nuit j’emmenais FabienneBaetens comme compagnie parmi les camions de carcasses. « Bahu les porteurs » dégrouppaitdans la nuit. Nos bâtiments étaient le V 1 M et le V 2 M, puis le bureau Rue duSéminaire à Thiais où il fallait passer chaque nuit regarder si quelque choseétait au télex. Mr Martin nous préparait, avec le sous directeur Cervesi lesdossiers des camions. Mr Guillonet au bord de la retraite faisait la navette. MrMisrahi s’occupait du trafic de cheval. Une secrétaire venait les lundis taperles C1 ( déclarations définitives ) au V2M. C’était soit Jeanine, blonde, soitMadame Gautron qui habitait le village de Plaisirs et allait boire sa bière encachette dans les toilettes. Parfois elle pleurait d’où son surnom « Lapleureuse ». Vial et Kersaudy s’occupaient de leur client Carniato, et dutrafic avec l’Italie. Le déclarant chef Benodot, je crois, venait du bureaudouanes de Saint Ouen l’Aumône. Nous allions à la SOGARIS verser les chèques decontribution à la douane.

Une des désagréables surprises qu’eurent mescollègues ( Roger Guenec le chef accompagné de Vial et de Kersaudy agentscommerciaux ) fut de se laisser surprendre par le directeur Mr Audry enpersonne alors qu’ils se désaltéraient en un des bars du M I N. Boire del’alcool pendant le travail est interdit, et le directeur les surprit ensemblesdevant leur verre au comptoir. Un autre des employés de la nuit, Bébert jecrois, venait mi – ivre dédouaner les camions la nuit.

En ce qui me concerne, je préparais mon prochainstage A F P A. Je dessinais des ellipses au bureau, et le chef Roger Guénecavait des largesses à mon égard quand j’étais de jour : « Pedro,va prendre ton café, et reviens dans une heure. C’est un ordre »

Un des trafic en viandes qui m’incombait à moipersonnellement, car j’en étais devenu le spécialiste était celui de la viandeoriginaire d’Argentine et destinée au corps diplomatique. Pour ce faibletonnage ( trois ou quatre misérables tonnes de bœuf frais bien découpé – noncongelé ) aucun des inspecteurs de douane ne me posait jamais aucun problème,ni aucun contrôle. Comme les inspecteurs tenaient à leur place, ils signaientce corps diplomatique les yeux fermés. Cet article ou camion était ensuiteréparti dans les ambassades de Paris.

Comme compensation en nature pour ce travailingrat, je volais ( je me servais dans les camions ) des langues de bœufentières que je me cuisinais ensuite à la maison. Une langue de bœuf pèse plusde deux kilos, si ce n’est trois. Gratuit. Les douaniers se servaient en cœurde veau, qu’ils cuisinaient avant d’aller se coucher dans les bureaux, leur litde camps étant montés. De la corruption de fonctionnaires.

Dus à l’expansion du marché commun, à sonextension, les douanes disparurent du bureau de Rungis, et pratiquement laprofession fut engloutie. J’avais bien fait de quitter le navire avant qu’il nesombre. Ils se retrouvèrent ( tousles déclarants des transitaires ) au chômage. « Ici tu es auxChamps » me dit un jour Louis Sanchez alors que je venais en visite, etpeu avant que ne commence mon long périple sur les Champs Elysées au Drugstore.

Je fêtais la nuit de mes 20 ans, un dimanche soirau V2M. J’y étais avec deux collègues car le dimanche soir arrive un grostrafic. « J’ais aujourd’hui 20 ans » annonçais – je à Roger Guénec etGuillonet qui passaient tous deux la cinquantaine.

De nombreuses années après avoir quitté le M I N,je retournais ramasser des colis renversés ou abandonnés au bâtiment de lamarée, ou bien faire mes courses au prix de gros ( noix et olives en pots de 2kilos, saumons fumés, noisettes épluchées, tarama grec en grands pots ). Jechargeais la mobylette ou le vélo à n’en plus pouvoir, et je rentrais megoinfrer sur Paris. Je visitais les grossistes avec ma bourse bien remplie. Jepartageais ensuite avec maman, lui emplissant son frigo. Depuis 1979, la fréquentationde Rungis dura jusqu’en 1998 ou 1999 soit un total de 20 ans.

Le M I N ouMarché d’ Intérêt National était à péage. Chaque véhicule, voiture ou camionqui entrait dans l’enceinte devait verser une rondelette somme. En ce qui nousconcerne, en tant qu’employés, nous avions une carte de passage des péages. Seulsles vélos et les motos passent entre les barrières.

Dans cette mini ville, la Tour ou bâtimentadministratif principal étalait en son Rez de Chaussée deux bars, un bureau deposte. Plus loin se tenait une A N P E intérieure et aussi le Centre Médicalqui contrôlait le personnel du M I N. Les médecins veillaient sur notresanté : médecine du travail, vaccinations, contrôles de routine. Il yavait aussi un commissariat près du secteur des banques.

La nuit, avant minuit, le paysage était lunaire. LeM I N ressemblait à un conglomérat d’autoroutes pèle – mêle avec ses nombreuxlampadaires d’autoroute. Puis arrivait la flopée des camions qui envahissaienttout.

7 - Société Danzas Denrées - Rungis M I N Mercado de abastos de Paris.Agente de aduanas en declaración de mercancías perecederas. Siège Rue des Alouettes – Zone SENIA. Durante1 año, 1980 Tráfico internacional defrutas y verduras. 60 000 toneladas de mercancías declaradas y pasadas poraduana entre camiones y vagones. Directeur Mr GérardArdoise – Déclarant principal Louis Sanchez qui eut un enfant en cours de route– Collègue Paul Placide, Antoine YZ puis Christian Voituriez qui me prêta sespartitions de guitarre – Paula à la frappe – Mickaela au bureau – MonsieurBouisse, qui s’occupait des taxes sur les fromages partait à la retraite. Undes employés Michel ( barbu ) venait en Citroën D S et amenait chaque jour sachienne au bureau : Ollie. Il s’occupait du Répertoire qui listait numériquementtoutes les opérations de douane, les numérotant.

Nous étions au 2ème étage du bâtiment C3, tout près des douanes. Le bar « Le roi de la bière » nous servaitle café. ( Guy et Jean – Jacques serveurs ) Deux voisines au bâtiment C3 : Michelle Grimaud que nous fréquentions par la suite, puis YasmineBellouar avec ses beaux yeux bleus. Parfois il fallait peser les camions oualors les faire visiter par Laloum, visiteur des douanes. Nestienne était uninspecteur qui nous donnait du fil à retordre. Dambach était un autre des inspecteurs. Marie Antoinette, qui avait undéfaut de vision faisait l’attachée commerciale de chez Danzas avec lesclients. Le directeur des douanes, Almès, le grand chef, père d’un camarade deSup m’avait fait entrer à ce poste par piston. Rubini était un des gardes –magasins, Olivan l’autre. A l’entresol Kémeneur dédouanait aussi. Sotracom et puisMaury au premier étage nous faisaient la concurrence. Un efféminé basanés’occupait du trafic des fleurs importées ( principalement de Hollande ).

Chaque matin, je réveillais à 6 h 00 les chauffeursdu Parking T I R ou Transport International Routier, car la douane ouvrait à 07h 00. Un nord africain Keffir me posa des problèmes de cohabitation au début,puis se fit licencier. Il me volait mes documents de travail. J’avais proposéma démission à Gérard Ardoise pour cause de désaccord, mais elle fut refusée.Le midi nous allions déjeuner au centre commercial de Belle Epine, quand je nequittais pas le M I N à 14 h 00 en cette toute cette première année de douane.Le grand directeur était Debonno. En un début d’après midi il me fit remarquerque j’étais assis bien bas sur ma chaise, trop enfoncé. Cilpa, un noirdirigeait le service importation. Nous fîmes une fête alcoolisée avec PaulPlacide et Cilpa à mon domicile en l’absence de mes parents, et nous cassionsquelque trois chaises. Jude un jeune antillais s’occupait du poisson et descrevettes la nuit au bâtiment A 1 de la Marée. La société SOMAVIL traitait lesdéchargements et manipulations de poissons nocturnes. Les camions défilaientdans tous les sens. Nous nous servions dans leurs marchandises, prélevant descaisses ou des cageots : « le lasor ». Les douaniers seservaient aussi et ainsi signaient plus vite la libération du camion quivendait, arrivé le premier, plus cher son chargement. Comme compensations ennature, je me servais aussi en morues séchées et salées, entières, importées deNorvège. Je me servais en caisses de crevettes congelées importées duGröenland.

Le phytosanitaire inspecteur contrôlait les fruitset légumes. Parfois un conteneur d’avocats mexicains était destiné à ladestruction car trop mûrs, ils étaient impropres à la consommation humaine.Certes, la marchandise était assurée et donc remboursée. Les avocatsvoyageaient sous atmosphère contrôlée d’éthylène, gaz qui était censé bloquerla maturation. Une partie des marchandises arrivait de leur bateau, transitantpar Le Havre. D’autres passaient par Marseille. Göteborg, bureau frontière duDanemark était très fréquenté par les camions transitant de Suède. Jesubtilisais dans un camion suédois une caisse de rognons de porc congelés quej’offris à Michel Lesturgeon ( Voir son histoire bien plus avant dans ce mêmefichier ).

En deux ans, je ne dédouanais aucune banane, celles– ci dédouanant à Marseille. Je ne passais pas un seul œuf non plus, ceux-ciétant réservés aux bâtiments « B O F » ou Beurre Œufs Fromages deproduction nationale intérieure.

Les pommes vertes Granny d’Australie étaitexcellentes, mais la caisse de pomme trop chère nous était interdite au« prélèvement ». Client Bud importateur. Un matin le directeur de Budme criait dessus à réclamer son camion. Je lui dis « Ne hurlez pas »,ce qui ne plut pas du tout à mon chef de service Louis Sanchez qui me fit laremontrance.

Un des trafic qui m’incombait chez Danzas était le« Chinafood », chargé en Chine et qui transitait par Rotterdam.Alimentant tous les restaus chinois de Paris, ainsi que « Tang Frères »,il composait une énorme complication de boîtes de conserves, bocaux et deproduits divers. Un faible tonnage à chaque fois de moins de 10 tonnesréparties sur une vingtaine de mets divers : litchis ou fraises chinoisesau sirop, rouleaux de printemps, nougats chinois, glutamate releveur de goût,etc.

De tout le temps que je passais à travailler àRungis, je ne lisais strictement rien : ni livres, ni journaux, ni revues,strictement le vide intellectuel total. Deux ans sans le moindre paragraphe. Ausortir de chez Calberson International, je me rendis avec Fabienne Baetens mapetite amie à la Samaritaine du Pont Neuf y voler un livre « ABC du SavoirVivre » ( Voir la photo de la couverture du livre scanné ) de Françoise leFolcalvez, aux éditions Fernand Nathan. Ah si, j’y suis : en fin de M I N,alors que j’allais partir, un collègue Abasse Hobaya me prêta un livre de PaulClément Jagot sur le magnétisme personnel. ( Hypnotisme ). Par la suitej’acquérais tous les livres de ce végétarien aux éditions Dangles. Ilpréconisait un régime lacto – végétarienet assurait « que l’adepte de la culture psychique s’abstiendrait de toutdialogue ou conversation qui ne soit pas d’ordre strictement technique ».



6 - Société « Liaisons courses » au 178 RueLegendre . Mensajero con moto 125 cc en Paris y suburbios. Coursier.A destajo durante 6 meses, 1979.Principal cliente : Gestion Service Neuilly m’était attribué. Je commençais matournée chez eux chaque matin à heure fixe. Les coordinateurs étaient deux aubureau : Alain puis Alain, toute la journée au téléphone nous orientaient ennos trajets. Lorsque j’arrivais trop en retard le matin, Alain envoyait unautre coursier me réveiller au domicile. Les autres coursiers roulaient enVespa. Une des livraisons de documents que je fis m’amena en l’Ile de la Citéou en l’ Ile Saint Louis, au domicile de Georges Moustaki le chanteur. D’autresfois j’allais livrer à Saclay, soit je crois le C E R N ou Centre d’Etudes etde Recherches Nucléaires.

J’habitais Rue Eugène Carrière à Montmartre chezDominique Soinnard à qui je payais la moitié du loyer. Du balcon nous avionsune vue superbe sur le cimetière. A cette époque, toute la journée se passait àmoto, y compris les samedis et les dimanches. Nous partions camper à Deauvilleet Cabourg en Normandie, ou passer la journée à Dieppe sur la côte. Je roulaisavec une caisse à viande en aluminium, dans laquelle je mettais tous les pliset les paquets. Un gros « Plan Net » couvert d’un plastique noir,guide des rues de Paris et de la banlieue m’accompagnait. Je connaissais Pariset sa banlieue comme ma poche.

5 - Société Dumas Lacassagne Transfel dégroupeur, Rungis MIN Mercado de abastos deParis. Administrativo, mensajero, contabilidad de cajones y de barquetas.Julio - Agosto,1979. Frutas y hortalizas. Monsieur Rivière était mon voisin de bureau. Jem’endormais pendant les heures de travail, et fus donc licencié. « Onn’est pas à l’armée du Salut, ici » me cracha le patron descendant de saMercedes. C’était mon premier contact avec le M I N, en dehors d’une visitefaite à Mobylette il y avait bien longtemps avec Juan Rodriguez, un voisin deParis qui formait partie de la famille lointaine de la sœur Paquita de monpère.

4 - Société Chaffoteaux et Maury – Soldador decircuitos electrónicos en calentadores de agua – Por trabajo temporal deagencia Tectra – Montrouge sur la N 20 -Paris – 1979 – Je pointais en rouge, en retard pratiquement chaque matin. Lescircuits imprimés transitaient, avec leurs composants, par-dessus un bain d’étain liquide quiles mouillait et au passage les soudait. Le bain d’étain était semblable à dumercure, mais à environ 400 ou 500 º Celsius de température. J’étaismanipulateur debout toute la journée, plaçant et enlevant les plaques.

3 – Temporal « pinche de cocina » 15días en el “ Crédit National “ necesitado por la sobrecarga de una mudanza delrestaurante de la empresa bancaria. RueSaint Dominique, dans les parages de l’ Assemblée Nationale – Je faisais aussila plonge et préparais les entrées. Je me rappelle des melons Gallia à la chairorangée. Parfois je faisais la plonge de mile assiettes et mille marmites. Uncollègue me plaisante à me voir trop sale : « T’es tombédedans ? ». Locaux en sous – sol. Commis de cuisine.

2 – Sociétés Décorève Posters y Publimage - Mozode almacén en posters murales y tarjetaspostales. Acondicionador – A media jornada durante los estudios de bachiller – Paris,1977-1978. Venta de posters en laFoire de Paris. Directeur Monsieur Gabriel Barthet et son épouse Nicole Debordd’Arcachon. J’achetais sa mobylette au chef de magasin. MonsieurForster magasinait. Un corse âgé aussi :Monsieur Mattéi. J’avais monté mon labo – photo à la cave, en noir et blanc. J’avaisles clés du magasin et je faisais la fermeture les samedis à midi, seul. Al’occasion je montais des catalogues pour les clients et les représentants: des pages au format presque carré assemblées par une baguette noire enplastique. Les images des posters y figuraient, mais en modèles réduits. Lesnoir et blanc apparaissaient sur fond orange.

La société déménagea de la rue Bréguet au 41 pouraller au 7 Impasse Charles Petit emplie de pavés mais s’étalant sur cinq étagesbien spacieux. Jean Louis était chefmagasinier. J’étais devenu spécialiste du roulage des Maxis et des Jumbos dontj’étiquetais les rouleaux. Chez Décorève j’eus une aventure sentimentale avecune de mes collègues : Martine Dupont habitait le Palais de la Femme Ruede Charonne. Nous partions avec les motos camper au lac des Settons, ou bien auParc de Sceau à Bourg – la – Reine, ou encore en voyage jusqu’à Vallons Pont d’Arc dans l’ Ardèche chez un autre des collègues Daniel et ses moustaches.Martine m’emmena travailler à l’ imprimerie bleue ( Je crois Cité Prost ) yformer des livrets de banque en travail nocturne qui était, certes, bien payé. Martineavait un poste « enseignant » à Décorève. Elle montrait à Nicole Barthetnée Debord comment se servir d’un nouvel outil qui arrivait sur le marché, àsavoir l’ordinateur utilisable en gestion des stocks et en comptabilité. Martineavait un petit défaut oculaire. Elle fumait des Gitanes sans filtre.

Entre temps, avec l’inauguration de ma moto,j’emmenais Paul – Henri Barthet camarade de classe qui m’avait présenté à sonpère le directeur, visiter sa mère à Biarritz, sa ville natale. Nous eûmestoutes les peines du monde à arriver aux Pyrénées car il gelait très fort d’unepart. D’autre part j’ignorais comment passer les vitesses de ce curieux moteurqui ralentissait dans les montées. Ce ne fut qu’à Biarritz ou Anglet que jedécouvris comment rétrograder à temps, après 600 ou 700 km de route. Nousrentrons sur Paris avec deux sacoches pleines de nougats et de bouteillesd’alcool financés par sa mère qui avait acheté une voiture neuve ( japonaise ) pourl’occasion de la visite de son fils. Paul voulut conduire quelques mètres auretour et chuta ma moto neuve au sol sur un des parkings de la nationale.

Je dus quitter Décorève Posters car le patronGabriel Barthet me refusa mon augmentation. Il refusait de me donner plus qu’àPhilippe qui venait d’être papa. Gabriel se fit opérer de ses poches sous lesyeux. Ils habitaient 31 rue Camille Mouquet à Charenton le Pont en bordure immédiatedu Bois de Vincennes. Son épouse Nicole fit alors « un cancer gros commeun melon » dont elle fut opérée.

1 - Durante las vacaciones del colegio, mozode almacén y tareas administrativas en Cablaccès, Paris 13 y Bercy Villages –1975 y 1976. Directeur Monsieur Nefussy, juif. Décharge des camionset tenue du magasin. Avec ma paye de magasinier, je m’offris une Mobylette, unebleue. Je me garais en bas de chez moi sans antivol, ne laissant que le blocagede direction à clé, et la mob partit volée en une demie – heure. L’assurance, “Les Mutuelles du Mans “ des Olympiades rue de Tolbiac proches me la remboursa.Cablaccès était l’entreprise où travaillaient mes parents avant d’embaucher àla S A T voisine.

0 – También educador de niños y responsable deltaller de fotografía en un campamento – Vigilante de siesta, decomedor y de las duchas. Parroquia de SaintMandé – Castillo de albergue de los niños : Salornay sur Guye – CollègueJosette Laroche aux cuisines – Le Père Masselin coordinait – Jean Ortel m’avaitprésenté et proposé. Nous organisions des jeux dans les bois. Un théâtre permitd’animer les gosses en fin de colo. Je pris le rôle de Peter Pan. Le réfectoiredes garçons, Saint Pierre était séparé de celui des filles, Saint Jean. Le pèreMasselin, qui fumait la pipe, me fit une grosse colère parce que je tentaisd’expliquer une prise de judo à un des gosses. Il était aussi furieux de lasympathie qui me liait à Josette Laroche, employée des cuisines. Il fallaitaider les gosses à rédiger leurs lettres aux parents restés à Paris. Les gaminsétaient adorables. Chaque moniteur était responsable d’une chambrée.

IDIOMAS


Francés perfectamente bilingüe. 40 años deresidencia en Francia.

Inglés: Nivel bachiller, más un año. Viajado aDublín y a Londres a practicar. Tambien a Amsterdam. Estudiado untotal de nueve años de ingles escolar.

Valenciano:Buen nivel en comprensión y lectura.

Otras actividades : Desde el 1998, Paris, estudio la forma de imponer el M U N D I O, unamoneda única mundial U N I V E R S A L. Estamoneda resultaría de la fusión de cinco monedas únicas continentales copiadassobre el modelo del Euro €. Cada continente crea su propia moneda única, hastaque deben fusionar las cinco. He intercambiado cartas en el 2003 con la O N Ude Nueva York y con los dirigentes de cincuenta países, con la O P E P y con el Parlamento Europeo, inclusocon la Moncloa, incluso con el Palacio de la Zarzuela, Sus Majestades y con elPalacio del Eliseo, Paris, Presidencia de la República. Documentos a disposición. El proyecto avanza.

Cette image de la pomme bleueillustre un peu le projet Mondio :



Cette autre image del’orange planisphère donne un deuxième aperçu du Mondio :


Demás experiencias :De Exp1 = E1 à E156

E 1 : Vendedor de cuadrosserigrafías en puerta a puerta – suburbios de Paris. Desplazamiento del equipode ventas en camioneta desde la capital – Je ne vendis pas un seul tableau dema semaine – Echec total – Evry en banlieue sud. Les arts et le commerce ne m’ont jamais trop réussi. Pourêtre commerçant, pour vendre, il faut de la rapidité or Pierre ( le caillou ) aune tendance prononcée à l’immobilité statique. Un des collègues parlait de« la neige qu’il avait chez lui » ( probablement de la cocaïne ).

E 2 : Representante de productos humorísticos ytarjetas postales - Sociedad M P A Conseil, región de Montpellier y Niza – Mónaco– Autónomo – Je ne vendis que très peu et à Monaco – Une vague de froid d’air sibériendans les Alpes me fait remonter d’urgence sur Paris. Je faillis mourir congelépar moins vingt degrés Celsius. J’avais la camionnette Combi Volkswagen blancheaménagée dans laquelle je dormais, et le chien, un berger belge malinoisque j’étais allé chercher dans un refuge S P A ( Société Protectrice desAnimaux ): ioi. J’avais pris deux jeunes filles en stop. Pour l’occasion de cenouveau métier, j’achetais un costume marron en velours à Nice. J’avais laisséune caution pour un présentoir et pour le matériel. Je fondai toutes meséconomies en essence. Le combi VW avait du jeu dans la direction. Je m’étaisfait remorquer deux fois : ensablé, puis batteries vides. Pas une fois jen’eus de crevaison. J’avais dormi dans Paris Île de la Cité au marché auxfleurs et aussi sur le port de Monaco où je lavais mon linge à une fontaine. Rienà voir : Au retour d’ Espagne je me présentais comme candidat à un postechez Europassistance mais je ne fus pas pris.

E 3 : Vendedor representante de aceitesesenciales en comités de empresas al salir el personal de los restaurantes deempresas – Zamira Achite de chez les A A Alcooliques Anonymes menait sonentreprise de diffuseurs à parfums. Elle refusa de m’établir une quelconquefeuille de paye.

E 4 : Buzoneo en Paris 13èmepara una tintorería “ Pressing Clisson “ – 1974. Nous distribuions sous chaque porte un format A5 encouleurs. Avec Jean Ortel de la Domrémy comme unique collègue. Nousétions payés au nombre de prospectus distribués.

E 5 : Vendedor en puertaa puerta de billetes de la lotería del colegio durante numerosas semanas cadaaño. Debido al gran éxito, estuvimos recompensados por el colegio Notre Dame de laGare – Comme récompense, le frère directeur organise une visite en petit groupeen taxi à Thoiry, un parc zoologique à ciel ouvert en forme de réservenaturelle. Eric Léger, et Pierre Lefaucheux se joignent à Jean Ortel et à moi.Nous fumions et mangions dans le taxi. Une autruche rentra sa tête dans lavoiture et avala un prospectus.

E 6 : Delegado y responsable de la clase de Math Sup (ingeniería ). Voir le « Journal 28 » où je détaille mes fonctions etmes circonstances de l’époque. Page XY ?.

E 7 : Estudios en la Universidad “ Pierre etMarie Curie “ : Ciencias de la Estructura de la Materia S S M 1 – Primer año no aprobado – Sciences etStructures de la Matière . D E U G = Diplôme d’ Etudes Universitaires Générales. MétroJussieu ( Jussieu = dynastie de botanistes du 17ème siècle ).

E 8 : Guardias de niñosque seguidamente tenía que llevar al colegio. Mes clients, les parents de Christophe Rousseau me ledéposaient chaque matin. La mère travaillait à la S A T. Je touchais cinqfrancs par jour. Je le faisais jouer, après ses devoirs, au train électrique. Jouef.Christophe était un ange.
E 9 : Gran practica demecánica de bicicletas, motos y coches. Motosalemanas M Z 125 cm3 ( DDR Deutsch Democratic Republic ) y coche FI A T 600 cm3. ( Firma Italiana de Automobile Turino ) Je démontaisplusieurs fois la moto en pièces pour la remonter dans la chambre et ladémarrer en appartement. L’idée de monter ma moto à la maison me vint parLoutfi Ouenna qui faisait pareil chez lui rue de Rennes avec son Béta 125. Enun voyage dans les Alpes, au Plateau d’Assis à Sallanches, vers une station deski où travaillait Jean Ortel, je dus remplacer l’embrayage dans la neige etdans la nuit noire. Je chauffais l’intérieur de la voiture avec une lampe àalcool. J’avais acheté cette voiture d’occasion depuis ma chambre d’hôpital,car la voisine de ma fiancée y était venue me la proposer à la clinique.Prix : 1 000 Francs. Sitôt la F I A T achetée, je m’habillais en secret,m’échappais de la clinique, allais chercher la R T A ou Revue TechniqueAutomobile au supermarché sur la N7, et revenais mettre mon pyjama incognito.J’y étais pour l’appendicite dont m’opéra le docteur Tordjman près de laPyramide de Juvisy sur la N 7.

E 10 : Ocasión depracticar traducciónes de documentos técnicos ( de motos Revista Técnica del Automóvil) – Très occasionnel, pour Silvia Peñalver la psychologue de la résidence SanLorenzo. Elle me paya un caféque je ne voulais pas accepter. Par la suite, Sylvia tomba enceinte ( fin 2010) Elle reviendra au travail en août 2012.

E 11 : Experimentospropios de platos formados a base de hielo, para hostelería turística –Numerosos prototipos de hielo tintado, coloreado. Pour ce faire, je m’achetais un congélateur géant chez ElCorte Ingles, neuf, ça va de soi. En 2011, alors que j’emménage, le congélateurtombe en panne et me coûte 80 € de diagnostic par un technicien. De remplacerle compresseur et le gaz fréon me coûterait presque aussi cher qu’un congélateurneuf. Inma m’aide un dimanche à le descendre. Il reste quatre grands bacs enplastique.

E 12 : Cursos deelectrónica por correspondencia – Eurélec Dijon – Francia. Habían exámenes escritos y seguimiento porcorrespondencia con envío de material electrónico didáctico. Clases realmente prácticas con hierro de soldar. Montaged’un contrôleur universel et d’une boîte à résistances. Cours de Radio Stéréo àTransistors.

E 12 continue en E 13 : J’emmenais tout le matériel rapatrié en Espagne,avec les nombreux livrets d’explications. Je le trainais avec mes valises dansle train, ce qui me posa des problèmes de douanes à la frontière de Port Boudans les Pyrénées orientales. Vers 1976


E 14 : Gran practica en ella concepción y el manejo de soldaduras de circuitos eléctricos y electrónicosde alumbrado e iluminación. Montajes eléctricos propios, entre otros unvariador de luces de colores. Je montais deux outrois exemplaires de “ Psyché à quatre voies” ( quatre couleurs de spots ). Ortel en eut un que je lui vendais. Jeme servis de ce Psyché pour animer une des fêtes d’anniversaire à la TourMexico chez Christine Lelarge. Nous faisions la danse du balai ( un desdanseurs a comme partenaire un balai et doit s’empresser de trouver un autrelors des changements quand la musique coupe et change ). J’embrassai MoniquePolychroniadis. Les Olympiades, Rue du Javelot.

E 15 : Turismo industrialde visita de una planta de montaje de coches Citroën BX cuando el cursillo A FP A 1982 – Ciudad de Sarreguemines en la frontera belga Año 1981. Viaje de fin de curso con toda la promoción dealumnos, unos 19. Nous vîmes le coulagedes pistons en aluminium, entre autres choses. Les pistons sontcoulés à la main. Le capot de la BXinnovait car il était en plastique. Collègues : Younès Othman et SylvieGrandmoursel. Eric Mariaud. Raoul Maio. Jean Luc Goga. Christian Vella.Cognard Gilbert.

E 16 : Actor en obras deteatro con la parroquia, cuando el catecismo. 1971. Le PèreCharles rouquin organisait les fêtes de fin d’année. Epoque du Club du Présent.Il était roux et fumait la pipe. Nous avions un local sur rue en la rue Charcot( Charcot était le maître à penser français à Paris de Sigmund Freud ).

E 17 : Un año de práctica de judo en un club S C P O ( Sporting Clubde Préparation Olympique ) – También un año de Kung Fu, o boxeo chino en dos otrosclubs. Monsieur Marquay et Mr Leiserowitch se succèdent. J’obtiens ma ceinture orange et je ne me présente pas lejour de l’examen pour passer verte. Au Kung Fu, Pascal Boucly et Tony Dehasm’instruisent tour à tour. Le kimono de Kung fu était noir et la ceintureblanche en soie, ornée d’une barrette prouvant le grade. Je venais avec lechien berger mâlinois et le laissais à la baie vitrée de la fenêtre desinstallations rue Dunois. Le blond professeur Pascal Boucly était champion deFrance de sa catégorie.

E 18 : Participacióndeportista en cinco veces el “ Maratón de Paris “ y en el “ Paris – Versailles”de tan solo 17 km. Carreras de fondo. Cinco veces 42 km. Cinco medallasconseguidas. A mon tout premierMarathon, je courais avec le dossard nº 15113. Entrenamientos engrupo con compañeros e individuales por el rio Sena. Nous courions à la même vitesse que les bateaux – mouchessur le fleuve comme référence. Florian Besson nous accompagnait avec sa sœur Florencequi courait aussi. Il était fils de bougnats ( commerçants en vins et encharbons ) de la Rue du Château des Rentiers. En un des marathons, Florian dutabandonner car il avait un ongle de pied incarné. A l’arrivée nous avions unthé chaud, outre les ravitaillements en sucre et en quartiers d’orange tout lelong de la course. ( Un ravitaillement tous les 5 km ) Un thé, puis lesvestiaires, enfin … et la médaille ! Maman jeta mes cinq médailles à la poubelle.



E 18 continue en E 19 A en cette Réserve : En fait je ne courais que troisMarathons. Les autres courses furent un « Paris – Versailles » de 17km ( Des pieds de la Tour Eiffel jusqu’au château de Louis XVI ) et un« 25 km de Paris 13ème » ( Avec Jacques Toubon comme Mairedu 13ème nous accueillant à l’arrivée avec l’ OMS = Office Municipaldes Sports ). Jacques Chirac, en tant que Maire de Paris donnait un coup de feuen l’air aux départs des Marathons.

E 19 B - Ces courses se matérialisaient quelques dix annéesplus tard en un journal, avec la prise de conscience de ce que les gouttes desueur tombaient dans les yeux, ce qui donna la théorie des déviations latéralesdues aux poils ce qui fut à la base du manuscrit « Spécial Poils »qui fait l’objet du point nº E 67 en une des pages qui suivent.




E 20 : Numerosos estudiosen autodidacta – 35 000 horas de estudio de Anatomía Humana, Anatomía Comparada,botánica, dietética, historia, geografía, matemáticas, física y química. Je pris l’habitude, à partir de 1990 de travaillerdans les bars à y étudier quelque livre au beau milieu de la cohue. Jefréquentais facilement les cafeterías, les Drugstores Publicis de l’avenue desChamps Elysées et de Saint Germain, puis El Corte Ingles Colon Pintor Sorolla,Avenida de Francia et Hypercor Campanar. Creación de la trigonometría parabólicacomplementaria de las dos existentes, de la circular y de la hiperbólica. Laparabolique est en chemin, inachevée en abril 2012.

E 21 : Un cursillo conla A E C C – Asociación Española Contrael Cáncer, para dejar de fumar, con un año entero de éxito de abstinencia total.Le siège si situe Plaza Polo Bernabenº 9 Bajo – Valencia – Tél : 963 391 400 – Notre groupe se réunissait à LaPuebla de Farnals. Año 2009. Il y avait dans l’entrée une fontaine avec de l’eau trèsfraîche. Durant le cours nous changeâmes de salle, évitant ainsi le portrait –photo du roi, ce qui rendit possible mon abstinence totale. Seis meses deseguimiento psicológico. Voir ci – après le journal de Mai 2010 pages 7 et 8 lecompte rendu d’une des réunions : de E 22 à E 24qui suivent :

E 21 se continue en cet E 22 : « Cette après – midi , ( 19mai 2010 ) il y avait une réunion que j’ attendais depuis des mois , celle del’ A E C C , la réunion de l’ année complèteécoulée , à compter du premier jour du stage . Montiel est arrivée en légerretard , mais hier j’ avais déjà oublié son prénom . Montiel Chelet Marti .Manolo est venu , mais il a rechuté au 9ème mois , et cela fait 3mois qu’ il refume . Il avait superbement réussi dans son arrêt , se défaisantdes patch dès le 3ème ou le 4ème jour . Arrêter lui avaitété très facile , disait – il . Manolo va faire un autre essai d’ abstinence.En chemin j’ avais rencontré Juan De La Cruz ( De Massamagrell ) qui me payaitun café à l’ aller , et aussi un au retour . Juan est abstinent depuis lepremier jour ( ou le 2ème ) et l’ a fait sans aucun patch nipastilles , ni aucune consultation d’ aucune sorte . Arrive Pepa qui aussi àtenu le coup . Elle a des nouvelles de Pili et de Rosa , les deux femmes aussiabstinentes . Le dernier larron est Ismaël qui a bien tenu le coup et se sentnettement mieux . Veronica ( une jeune femme qui avait été juste licenciée )refume , par disgrâce ainsi que Manolo Piquer qui nous avait montré safabuleuse collection de cactus. Cet après midi là, une « horchatagranizada » nous avait bien rafraichis en sa maison de campagne au soleil.

E 21 se continue en cet E 23 : Helena a aussi accroché à resterabstinente . Milagros ( traduire par « Miracles » ) ne fume pas maissuit une chimiothérapie. Juan , à qui l’ abstinence donnait de terriblesmigraines , a du consulter avec un psychiatre pour accuser le coup , admettresa défaite , mais s’ en tire avec la rémission , se sentant tiré d’ affaire dece mauvais pas , quoique bien – sur il refume . Une autre des stagiaires ,Elvira , avait renoncé à l’ abstinence dès la troisième ou 4èmeréunion .

E 21 se continue en cet E 24 : Comme bilan , sur les 17 + 1personnes initiales , si mes comptes sont bons , cela fait 8 réussites , soitpresque 40 % . J’ais fait le commentaire à Montiel que je devenais végétariendepuis deux ou trois mois . Elle parait approuver . Cette année plusieursgroupes se sont ouvert, certains avec 40 ou 50 candidats . Montiel n’ a pasvoulu me remettre mon diplôme qu’ elle me postera , à la date effective des 12mois d’ abstinence . D’ abord elle doit me poster le porte – clefs A E C C . (Celui de porte clefs en cadeau qui furent remis à la précédente réunion , queje ratais en brillant par mon absence ) »

E 25 : Baile en lasfiestas de verano de la residencia San Lorenzo de Brindis - 2007 – 2008. Nous dansions en groupe pour célébrer le printempsen une fête estivale. Begoña et Silvia menaient la danse sur des musiques populaires.C’étaient des ateliers obligatoires.

E 26 : Experiencia en bombas de agua y tuberías deplástico – Llaves de paso. Aquariofilía y agua potable refrigerada. Milletuyaux formaient un réseau de distribution d’eau glacée à l’intérieur de mondomicile parisien. J’avais perforé les tôles du frigo et modifié le robinet de l’évierde la salle de bains qui alimentait tout.

E 27 : Militanteasiduo durante varios años de A A – Alcohólicos Anónimos por ser familiar de unenfermo A A : mi padre – Lieu de reunión : Eglise de la Madeleine – Paris –1977 – Séminaires annuels aux congrès à Chevilly – la – Rue. Quelque congrès AA aussi. ManuelMorales était l’un d’eux. Aussi Camille etEmilienne Fauvet parents de Alexis et Jérôme champion aux échecs. Puis Martinecouderc dont les parents avaient un bar “ Le Camélia “ rue de Rome à la gare SaintLazare. Les réunions du vendredi soirclôturaient la semaine de tous, mais le lendemain j’avais, à mon lycée Raspail,examen de physique. Mon premier contact avec les AA fut Mona, qui nous présentaà une réunion de l’église américaine de Paris. Gabriel Barthet, mon premierpatron m’avait suggéré de prendre contact avec eux, un dimanche qu’il m’avaitinvité à déjeuner chez lui. Ses glaçons étaient non pas en glace d’eau figée,mais en métal, semblablement à de petits œufs métalliques brillants.

E 28 : Experiencia devarios tipos de manualidades y deportes en los campamentos de verano de la S AT ( empresa de mis padres ) durante las vacaciones : Vela – Espeleología – CanoaCayak – Ciclismo – Pyrogravure sur bois – Colliers de perles de couleurs Excursionesbici y pedestres de larga distancia – Acampadas

E 29 : Montajes decarpintería en casa ( mueble biblioteca – Construit avec les bois des palettesde fruits et légumes de Rungis M I N ) y en casa de un amigo ( con remuneración). Muebles y revestimientos. Chantier Rue du CheminVert, au métro Père Lachaise. Jean François Goubely Al Ateen faisait travaillertout le monde. Il vendit le Chemin Vert pour payer le château du Saulier. Je merendais chez lui pour y travailler en les fins de semaine. Rez de Chaussée surcour intérieure. Les Vélux laissaient passer la lumière par le toit. Commeoriginalité, sa grande baignoire était munie d’un plongeoir. Cet appartementétait un duplex sur plusieurs niveaux intérieurs. Dans le couloir, des odeursde nègres et de riz cuisiné repoussaient. À proximité, un restaurant arabe nousservait le couscous avec Harissa.

E 30 : Albañilería en casa( yeso de secado rápido ) y pinturas. Instalaciónde una ducha y modificación de la cocina– Travaux, conséquemment de plomberie par un plombier « au noir » quiavait pratiqué le jeûne long. Domicilio de Paris. Il me fallut aussi repeindrele parquet en vert émeraude après avoir arraché le lino ou couverture plastiquedu sol. J’avais modifié aussi les encoffrements des vasistas qui laissaiententrer la lumière par le plafond. Sur ces vasistas, j’avais ajouté des miroirset aussi quelques tuiles transparentes en verre après perforation du plafond endeux points. Parfois, je montais fumer une cigarette sur le toit, assis sur lestuiles ou quelque cheminée, pris par le vertige.

E 31 : Falta un empleo enel CV propiamente dicho: una tarea de trabajo temporal en la empresa C I T Alcatel,que diseñando, debía concebir una máquina de metalización con oro vaporizado delas fibras ópticas en una máquina de vacio atmosférico. Temporal 2 meses – Año1985. Un autobus ou autocar prenait le personnel à la Porte d’ Italie et nousemmenait assez loin en banlieue. Les installationsindustrielles sur place relevaient presque du luxe. J’y conçus une machine avecdes engrenages commandés chez la société Prud’homme. Le midi, un restaurantd’entreprise nous alimentait. Quand je ratais le car à Porte d’ Italie, jedevais aller jusque sur place avec la moto MZ.

E 32 : Afición al juego dela ajedrez desde los quince años o desde los trece. Je jouais contre Jean Louis Bertrand et contre le fils duBoucher chevaline, camarade aussi de la Domrémy qui fréquentait la piscine.Aussi je jouais contre les camarades de classe des Francs Bourgeois. J’eusl’occasion de perdre de nombreuses parties contre Alexis et Jérôme Fauvet. À larésidence San Lorenzo, je battais tout le monde ( Guardiola et Pedro Salom etmon voisin de chambre « Sepultura » et Gallego ) jusqu’à ce qu’unnouvel arrivant et Amador me mettent ma pâtée.

E 33 : Afición a acamparen bosques y campings en tienda de campaña o al raso. Je campais au Lac des Settons dans le département de l’Yonne près d’Auxerre, ainsi que dans la forêt de Fontainebleau : Avon, au « velu »ou grotte caverne un peu aménagée, à la roche éponge Route de la Reine Amélie,à Milly – la – Forêt dans le massif des trois pignons près du rocher :« Le diplodocus ». Je campais avec Patricia Malaguarnera, avecFabienne Baetens, avec Martine Wanstock, avec des voisins du 109 berges, avecAbasse. Vers la fin, je partais seul avec la mobylette ou avec la bicyclettepour plusieurs jours. Une cafétéria Casino à Avon me permettait de me laver, demanger un peu chaud et me servait le café en cette ville impériale de Napoléon.Je ne visitais jamais le château. Dans toute la forêt de Fontainebleau, il n’ya pas une seule Fontaine ni point d’eau. Parfois nous visitions un artiste dela forêt nommé Roger Chomo qui fit l’objet d’un reportage à la télé. Ilsculptait, mais demandait un droit d’entrée à son triste domaine. Milly LaForêt.

E 34 : Afición a la astronomía teórica. Lecturesdiverses en atlas.

E 35 : Conocimiento del alfabeto griego completo. Unedes théories propose une étymologie des lettres latines de notre alphabetremontant à l’alphabet grec, celui – ci étant issu de schémas, de croquis dedynamique maxillo – faciale de lèvre, de langue, de nez et d’oreilles. Le gestefacial se fixe en un croquis simplifié qui devient une lettre grecque, celle-cidevenant par simplification et par accélération graphique une lettre latine. Voirla théorie 5 et les diapositives didactiques de la présentation PowerPointMondio 60.

E 36 : Conocimiento y usofácil de Internet

E 37 : Experimentosconcretos de electrolisis del cobre con material profesional. Usage de sulfate de cuivre Cu SO4 et decuves électrolytiques avec alimentation stabilisée en basse tension. Jefabriquais l’alimentation stabilisée et ma mère fournissait le cuivre et lesulfate de cuivre Cu SO4 venus du service électrolyse de la S A T oùelle attachait les pièces devant tremper dans les cuves de l’usine, avec un filde fer en aluminium conducteur. Son service : l’ attache. CollèguesRaymonde Trouin et Jacqueline Buttée. Un jour, j’allais visiter le service.

E 38 : Clases de formación continua en B T S Paris ( Técnico Superior en construcción mecánica ). Seulement durant quelquessemaines, je bénéficiais de ce B T S en cours du soir. En cours de français, ilnous fut proposé une étude philosophique : faites vous l’avocat de ladéfense et délibérer sur le bruit, à juger. Coupable ou non coupable.


E 39 : Intentos de establecer patentesindustriales en el I N P I de Paris o sea el Instituto Nacional de laPropiedad Intelectual – 1983 – Un des projets était un distributeur à bandesplastiques de traditionnelles cartes postales du commerce. Un autre projetétait un clavier d’ordinateur commandé par LASER. Un matin, je me rendis à larue Saint Pétersbourg sous une pluie battante y faire des recherchesd’antériorité. J’allais même jusqu’à consulter avec un Conseil en Brevets quivoulait facturer. Sans suites. Un de mes premiers projets, dément, consistait àmaintenir des capteurs solaires en aérostation au dessus de la ville. Descâbles devaient acheminer le courant des capteurs. Mais un aéronef au dessusdes habitations urbaines est interdit par la Ville de Paris.

E 40 : Propuesta de unateoría de física nuclear según cálculos de relatividad. Le photon se spiralise en une boule compacte qui n’estautre que l’électron, et à son tour cet électron en paquets à 66,1 % de lavitesse de la lumière se spiralise en protons et neutrons stables. Les formulessont : 3 x 17 x 27 électrons, puis 3 x 20 x 23 électrons en un paquet enforme de pelote de laine. Les calculs tombent juste. Voir en théorie 7. Denombreux brouillons semblent indiquer des calculs corrects.

E 41 : Collecte des “ lots “ afin de préparer lakermesse annuelle de l’école Notre Dame de la Gare, de par la générosité descommerçants du 13ème que nous allions solliciter avec Jean Ortel. Unerecommandation écrite du Frère Directeur ( « Balai brosse » à causede sa coiffure ) nous annonçait aux commerçants généreux qui donnaientgracieusement. Nous passions avec un petit charriot à faire les courses. En finde collecte, nous faisions des prélèvements frauduleux sur les dons.

E 42 : Trabajo con cemento en el castillo porrestaurar de un amigo en el centro de Francia – Chasseneuil – Castillo “ Le Saulier“ del siglo 12 – 1999 – Comme compagnie, les 150 ou 200 invités du châtelain JeanFrançois Goubely qui fêtait son anniversaire. Il donnait des feux d’artificeset organisait des concerts sur place. Un grand champ de coquelicots bien rougesnous agrémentait. Une bétonneuse qui avait un problème de roulements futdémontée à grand peine, et je crois, jamais remontée. Certains invités dormaienten tentes de camping, d’autres au village à l’hôtel. Une collecte permettait àchacun de donner ce qu’il voulait en une boîte. Je ne donnais 100 francs àGouby qu’une fois rentrés sur Paris. Les invités amenaient leurs doses de hachichdepuis Paris, pour l’occasion. J’étais au château un marginal, avec mamobylette qui m’emmenait au village y fourrer le nez dans mon livre « Lesdécouvreurs » ( Sous titre : L’aventure de ces hommes qui inventèrentle monde – Éditions Robert Laffont ). Leurs beuveries, que j’avais essayé departager, m’amenaient à vomir à chaque fois, y compris la nuit. Laurent Villed’Ary. Pascal le plombier aussi informaticien arrangea un robinet qui perdaitet offrit un arbre à planter au châtelain Goubely.

E 42 se continue en cet E 43 : De ce château du 12ème siècle « leSaulier », je continuais le voyage plus au sud jusqu’en Dordogne, à Bort –les – Orgues chez Madeleine Beynat Lopez, une amie de ma mère connue à table àla IMSERSO ( vacances des retraités espagnols ) de Roquetas de Mar ( Almería enEspagne) en décembre 1991 et janvier 1992. Elle avait perdu son mari Manuel leFranc Maçon. Rouler des centaines de kilomètres à mobylette était pure folie.Mais à Bort, je fus très bien reçu par Madeleine et par son fils Bruno Lauzier,chef d’entreprise de maroquinerie. Je restais une longue semaine ( je croisdeux semaines ) parcourais toujours le même livre des découvreurs et jevisitais les barrages hydroélectriques et les montagnes avoisinantes. J’y fisl’ascension à pied du Puy Mary, un volcan de quelque 1800 m, éteint proche deBort. Madeleine de ses 70 ans habitait le Chemin de la sablière. En aidant audéménagement de l’entreprise de Bruno, je me coinçais l’orteil droit sous unedes presses. Il fallut consulter avec le médecin, et faire des radiographies àla ville voisine. Me voyant désespéré avec mes 600 km de retour obligé enmobylette 49,9 cc sur Paris, Bruno me rapatria ma mobylette en camion à sesfrais, et me ramena lui-même avec sa voiture car il avait une visite médicale àpasser à Paris ( à La Pitié Salpêtrière ) à cause de sa mâchoire qui sedésintégrait en un point faible. Son fils nous accompagna avec son bras casséet donc son plâtre. Nous dînions en arrivant sur Paris au quartier latin. Brunom’a adressé une lettre à San Lorenzo en me permettant l’espoir :« Après la pluie vient le beau temps ».

E 44 : Vegetariano muchos añospor profunda convicción. Jean François me donnaun premier aperçu du végétarisme qui commença pour lui en un voyage dans lesAndes. Il fut écœuré par la viande avec les mouches sur les marchés. Pour moi,le docteur Paul Carton avec son livre hygiéniste ( source de l’AnatomieComparée ) fit le reste. Expérimentalement, je connais aussi l’état de jeûnecourt. 4 jours + 1 jour + 1 jour. En 2012, je Jeûne un jour par ci, un jour parlà.

E 45 : Elaboración de unconjunto de nueve teorías o reformas o proyectos que apoyan al M U N D I O , la moneda única mundial ytornan el proyecto en una relativa seguridad y coherencia social, económica y política.C’est l’objet de l’Anthropisme quiculmine en le Mondio. 2012 : Voir le Blog : elmundio.blogspot.com quiattend une traduction au français.












Ce CV =Biographie ne passant pas sur le net par le biais habituel du Blog, il estsectionné en deux tronçons afin de le passer en deux Blogs :

La premièrepartie va de la page 1 à cette page 72 incluse. Le fichier devient Biographie1. Le blog 1 se nommerait www.biographie.pierremontagne1.blogspot.com

La deuxièmepartie de la page 73 à la page terminale actuelle 148. Le fichier se nommeraBiographie 2. Le blog 2 se nommerait